Histoire du Divertissement

ainsi l´un des moyens les plus effectifs pour prêter au rire. Le fil du rire qui grimpe dans la culture à travers des siècles se manifeste le plus clairement dans les comédies. Je parle surtout des comédies théâtrales, car le théâtre représente le divertissement culturel le plus ancien. Mais franchement - en regardant ou lisant une comédie, est-ce qu´elle vous fait sentir toujours un simple amusement? Ou vous y éprouvez de même d´autres impressions, souvent difficilement assignables, qui en tout cas n´ont

classique se base sur deux genres litt駻aires: la trag馘ie et la com馘ie. De nos jours le theatre clastique est l'un des sujets du Baccalaur饌t et est 騁udia l'馗ole. Est-il adaptaux spectateurs du 21 eme si鐵le, ou au contraire peut il 黎re source de divertissement? D'une part il est vrai que le theatre classique peut 黎re ennuyeux pour les spectateurs d'aujourd'hui, mais il peut tout au contraire les int駻esser a plusieurs niveaux. Le theatre classique expose des inconv駭ients face aux spectateurs

Le théâtre sert a divertir le public qui le regarde mais aussi le théâtre est un miroir c'est à dire que les spectateurs peuvent se voir eux même sur scène. Le théâtre peut être comique quand on rit devant de simple grimasses ou devant une histoire tragiques, exemple : Le tour complet, scène tragiques traduit par des tours de magie et des touches comiques. Le rire dans la farce : montrer l'importance du comique de gestes, de répétition, les quiproquos, les retournements de situation, ... Ce

Il permet de joindre l'utile à l'agréable, car c'est en même temps un divertissement et un lieu de rassemblement. Il permet également de créer un lieu propice à la discussion et à la créativité pour toutes les générations.  Au début du théâtre grec, on jouait des "tragédies": pièces qui racontaient des histoires dramatiques. Ce n'est qu'à la fin du Ve siècle av. J.C. que les "comédies", pièces qui racontaient des histoires drôles, apparaissent. Plusieurs auteurs les ont écrites, on parle aujourd'hui

sont-ils sexués ? ». Nous allons donc, dans une première partie, se pencher sur l’histoire du jouet et son universalité, puis, dans une seconde partie, s’intéresser aux aspects sociologiques du jouet et ses impacts. I/ Le rôle de divertissement du jouet a) Histoire du jouet Premièrement, le jouet a toujours été présent chez les mammifères pour cesser les cris des petits, ainsi, nous pouvions observer des individus jouer avec des cailloux, des coquillages, des pommes de pains…

L’époque du Moyen Âge a été marquée par l’avènement des histoires écrites. Car, avant cette époque, le divertissement se faisait oralement. Le développement de l’écriture a amené des histoires comme celles de chevalerie. Les thèmes que les auteurs exploitaient sont principalement l’amour et la mort. L’histoire de Tristan et Iseut est un bon modèle de ce qui était populaire à cette époque. Cette histoire illustre bien la puissance magnétique de l’amour-passion. Tout d’abord, je vais vous montrer

rôle des romans feuilletons étant assimilable pour la société de l’époque à celui qu’à aujourd’hui nos séries télévisées, d’origine souvent américaine, il est légitime de penser que Les Trois mousquetaires avaient principalement une fonction de divertissement. Si certains ont essayés de réécrire le passé, d’autres ont au contraire voulu écrire le futur, représenter le monde tel qu’il sera. La science fiction, ou plutôt roman d’anticipation puisque le terme n’apparaîtra qu’en 1926, nait de la rencontre

dirons pourquoi Molière n'a pas tout à fait raison. Tout d'abord on peut dire que le théâtre est un divertissement, qui a pour origine les fêtes donner en l'honneur de Dionysos, le dieu romain de la fête et de l'ivresse. Ce genre littéraire est donc présent dans notre culture depuis l'Antiquité. Durant le Moyen Age, la farce était très populaire et servait, le plus souvent, de divertissement à la cours du roi. Comme la farce de Maitre Pathelin (vers 1460). De plus, le théâtre est un genre clairement

La portée du conte se limite-t-elle au divertissement ? Qu’il soit issu de la tradition orale ou modernisé à partir du XVIIIème siècle, le conte séduit toujours par son schéma narratif relativement simple et resserré, ses personnages merveilleux et son cadre spatio-temporel imaginaire. Cependant, la fonction du conte dépasse le cadre du divertissement et de l’amusement puisque le genre à une véritable complexité et prend une dimension à la fois universelle, philosophique et symbolique

pratique très courante au XVIIIe siècle des salons, et de son influence sur ce qu’il appelle « la bonne société ». Dès le premier chapitre, il place les bases méthodologiques et historiques en insistant sur le fait qu’il n’est pas pertinent d’opposer histoire et mémoire : « comment expliquer que des pratiques aussi évanescentes que celles des salons aient été investies d’une telle signification, au point de continuer à produire des effets ? » (16). Au cœur de ses recherches, il convient de souligner