3 Quel Est Le Rôle De La Confiance Dans Un Système De Marchés Concurrentiels

Le texte prononcé fait foi Séminaire des journalistes de l’Association suisse des banquiers, 25-26 juin 2002 Le rôle des banques dans l’économie du point de vue politique ou Niveau de vie raisonnable - ou commerce sans limites ? Anita Fetz, Conseillère nationale PS de Bâle-Ville, membre du Conseil d’administration de la Banque Coop Mesdames, Messieurs, Avez-vous déjà visité Expo 02? L’une des expositions de l’Arteplage de Bienne, qui s’intitule « Argent et valeur – le dernier tabou » illustre

d’une entreprise, qui a pour but de certifier que ces comptes annuels sont réguliers et sincères et donnent une image fidèle de la société en fin d’exercice. Le mot d’audit lui-même provient d’ailleurs du verbe latin audire : écouter. Auparavant le marché international de l’audit était dominé par huit grands cabinets les «Big8» il s’agit de : Arthur Andersen, Arthur Young, Coopers & Lybrand, Deloitte Haskins & Sells, Ernst & Whinney, Peat Marwick Mitchell, Price Waterhouse, Touche Ross

Avant propos Depuis l’été 2007, les Etats Unis connaissent une grave crise financière liée aux subprimes qui s’est répercutée en France et dans le monde. Les marchés financiers sont volatiles et la confiance des ménages au plus bas. Cette crise a des conséquences sur l’économie réelle pour les particuliers et pour les entreprises. Les Etats Unis sont maintenant en état de récession avec un taux de chômage très élevé. En avril 2010, le chômage aux Etats-Unis est passé à 9,90% (les Echos)

L’OREAL Sommaire Introduction I. L’OREAL leader mondial du marché des cosmétiques 1. Le marché des cosmétiques en croissance Une offre variée Un marché segmenté Une demande exigeante et volatile Des zones géographiques en croissance 2. L’OREAL, leader incontesté du marché des cosmétiques Une évolution basée sur l’expérience Des Domaines d’Activités Stratégiques performants La concurrence 3. La performance Des activités centrées sur le cœur de métier

Cette autorité économique assure une certaine stabilité dans les relations avec le monde et les marchés internationaux ; cette stabilité dans les relations est une condition primaire surtout que ce secteur est finement sensible à n’importe quelle crise ou fluctuation interne et externe. La croissance de ce secteur a en fait aidé à l’élévation du niveau de la vie et ceci en développant le marché de l’emploi et en stimulant de nouveaux besoins de confort ; ces besoins qui ne sont satisfaits

Légende Les principaux auteurs sont cités en gras souligné. SOMMAIRE 1.1 – LES ORGANISATIONS ET LEUR CONTEXTE 3 1.2 – LE MANAGEMENT 5 1.3 – LES CONTEXTES DE MANAGEMENT 8 2.1 – L’ANALYSE DES ORGANISATIONS 10 2.2 – LES CLASSIQUES 14 2.3 – L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES 18 2.4 – LES NEO CLASSIQUES 23 2.5 – L’ORGANISATION, SYSTEME COMPLEXE 27 2.6 – L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES ORGANISATIONS 33 2.7 – LES THEORIES DE LA CONTINGENCE STRUCTURELLE 36

[pic] [pic] [pic] Sommaire I- Chapitre Introductif : I-1 Les aspects conceptuels d’une alliance stratégique I-2 Enjeux et Objectifs I-3 Les formes et les types d’alliance I-4 Avantages et limites des coopérations stratégiques Ch. II- L’alliance « cas de réussite » , « cas d’échec » : Présentation de Renault : ← Renault & Volvo cas d’échec

définition et principes « Elaborer la stratégie de l’entreprise, c’est choisir les domaines d’activité dans lesquels l’entreprise entend être préservée et allouer des ressources de façon à ce qu’elle s’y maintienne et s’y développe » Strategor. Les marchés évoluent constamment (révolution perpétuelle , il faut donc bouger constamment pour survivre (d’où un jargon militaire et biologique) Ex : Phagocyter : Iphone et Ipod vendus bien séparément : le risque était que les gens achètent l’IPhone qui fait

les services productifs à sa disposition. Il en suit que la trajectoire de croissance suivie par la firme -les biens qu’elle décide de produire- peut être analysée en termes de la relation entre ses ressources et sa perception de sa position concurrentielle.” [Penrose, 1959, p. 5] Inspiré par les travaux de Penrose (entre autres), dont l’influence reste particulièrement prégnante, le Modèle des Ressources et des Compétences (MRC1) apparaît comme une innovation théorique prometteuse au milieu des

modèles d’organisation I. Courants de Pensées organisationnelles ■ Théorie Classique ■ Théorie béhavioriste ■ Théorie psychosociologique ■ Théorie néoclassique ■ Théorie de la contingence ■ Théorie générale des systèmes (la cybernétique). I-1) Théorie Classique Elle repose sur : ✓ L’individualisation du travail : à chaque ouvrier un travail spécifique ✓ La parcellisation du travail : le nombre d’activité par poste de travail doit être