3 Février 2004 1ère Civ

DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE SEPTEMBRE 2009 - 10 euros DIFFAMATION, INJURE, OUTRAGE... Comment se défendre ? - NUMÉRO SPÉCIAL - Sommaire Éditorial ............................................................................................Page 3 Première partie : les actions devant le juge pénal ......................Page 4 Première sous-partie : les actions en cas de diffamation et d’injure devant le juge pénal .....................................................Page 4 1. La diffamation .

soulignent nombre de commentateurs, évoquant tantôt sa « renaissance », tantôt sa « verdeur » retrouvée, mesurable par une résistance perceptible au sein des régimes de responsabilité de plein droit, voire par la conquête de « nouveaux territoires »3, nés d’une société post-industrielle productive de services immatériels, inadaptés à des concepts matérialistes tels que celui du « fait de la chose ». C’est ainsi que la responsabilité des prestataires intermédiaires de l’Internet, la « cyber-responsabilité

née Dans cette période (entre CCL du contrat et échéance du terme), l’obligation est déjà née. Ceci constitue la différence la plus fondamentale qui sépare le terme suspensif de la condition suspensive. La Cour de Cassation (Civ.1) l’a rappelé dans un arrêt du 13 juillet 2004 en disant : « le terme est un événement futur et certain auquel est subordonné l’exigibilité de l’obligation ». Ce que sous entend la Cour de Cassation c’est que le terme suspensif diffère de la condition en ce qu’il ne suspend

un Droit commun des sociétés. Ce Droit commun trouve son point d’appui dans la définition de la société au sein du Code civil (art. 1832) et dans une série de dispositions s’appliquant à toutes les sociétés, figurant aux articles 1832 à 1844-17 C. civ. D’autres matières offrent aussi des dispositions communes, telles le Droit des procédures collectives qui vient de subir une importante réforme le 26 juillet 2005, ou encore le Droit social, fiscal ou comptable. Mais ces derniers ne relèvent pas du

pour les charges engendrés par le handicap. Elle va être déclarée applicable aux instances en cours. On avait donc des personnes qui ont le droit à réparation, en train d’agir devant les juridictions, et se voient dénier le droit de réparation. - Acte 3 : réaction de la Cours européenne des droits de l’homme. Ce sont avec deux arrêts du 6 octobre 2005 Draon et Maurice que la Cours EDH va condamner la France pour violation du droit de propriété - article 1er premier protocole de la CEDH - Le raisonnement

procéder, avec l’accord du vendeur, à l’abattage des arbres marqués et emporter le bois correspondant. Le vendeur peut-il procéder à l’abattage des arbres du jardin et emporter le bois correspondant ? Majeure : Article 516 et 517 C. civ. Article 518 et 520 C. civ. : l’arbre est un immeuble par nature (peu importe qu’il soit marqué ou autre) : rattaché au sol par les racines. Article 521 C.civ  : mais il devient meuble au fur et à mesure qu’il est exploité 

conséquence l’emprunteur doit restituer la chose au prêteur. Ce principe est énoncé aux articles 1888 et 1889 du Civil, d’une manière assez complexe. En effet, le premier énonce que « le prêteur ne peut retirer la chose prêtée qu’après le terme convenu […] »[3]. A la lecture de ce texte, c’est à l’arrivée du terme et seulement à ce moment que le prêteur peut recouvrer la jouissance de son bien. De ce point de vue, les choses paraissent simples et acceptables comme telles mais l’article suivant du Code laisse

PRODUITS DEFECTUEUX______________________________________________ 31 V - MONTANTS DE GARANTIE ET DE FRANCHISE _______________________________________ 33 VI -COTISATIONS ET SINISTRALITE ___________________________________________________ 37 CHAPITRE 3 - LES PRINCIPES JURIDIQUES DE LA LOI DU 4.01.78 __________________________ 34 I - UN RÉGIME DE PRÉSOMPTION _____________________________________________________ 34 A) présomption de responsabilité des constructeurs d’un ouvrage (article 1792 du code

remplir afin de pouvoir déduire, à juste titre, des frais professionnels. Ce lien nécessaire, ou parfois appelé « le critère de causalité »[2], a été dégagé par la Cour de Cassation qui parle elle de « frais inhérents à l'activité professionnelle »[3]. Il faut donc que les sommes déduites de ses revenus professionnels présentent un lien de causalité nécessaire[4]. Nous allons donc voir successivement en quoi la dépense de Madame Tondeur n'est pas une dépense en lien direct et nécessaire avec son

commerçant ne peut pas refuser à un consommateur la vente d’un produit ou d’un service sauf motif légitime (article L.122-1 du Code de la consommation). Le juge peut imposer aux divorcés une cession d’usufruit ou un « bail forcé » (art. 275 et 285-1 C. Civ.), un contrat de licence lorsqu’un brevet est inexploité, etc. Evidemment, il faut que ce contrat imposé soit prévu par la loi. Par ailleurs, la loi exige parfois la conclusion d’un contrat, tout en laissant le choix du cocontractant (ex. : assurances) ;