10 Mai 1968 Cass Civ 3

S. l’inspiration du texte ainsi proposé. Elles se contentaient de paraphraser l'article en question, tout en ajoutant que le but de la distinction était «d'éviter une trop grande immixtion dans les affaires d'autrui, même par un gérant de bonne foi»3. Dans le but de comprendre la portée de l'article 1490 C.c.Q., dont la rédaction apparemment simple occulte certaines difficultés de taille, notre réflexion nous amènera d’abord à distinguer les notions d’opportunité et d’utilité, puisque le Code les

doctrine en admet l’existence mais si elle l’illustre parfois en détaillant le contenu, elle ne la définie pas. L’effort de synthèse entrepris souffre de ne pouvoir s’appuyer sur aucun travail doctrinal relatif au groupe de contrat en droit international [3]; et comme on l’a dit, il se heurte à l’absence de rigueur terminologique de la jurisprudence internationale. D’ailleurs, la rareté des décisions liées notamment à la confidentialité des sources oblige à raisonner sur quelques cas d’espèce : les litiges

contrat, hypothèse de la personne qui part en vacances, un arbre s’écroule sur sa maison, le voisin s’occupe des dégats. Pour obliger le propriétaire à rembourser l’entrepreneur on reconnait la création d’une obligation pour celui qui en a profité. 3°) Notion d’obligation Matière fondamentale, considérée comme un socle en droit privé sur lequel on revient dans le reste des études. Ex : cours de L3 de contrats spéciaux, droit de la consommation = droit spécial qui s’appuie sur le droit des obligation

1944 , lorsque le Conseil d’Etat français faisait application d’un principe général du droit, il ne justifiait pas formellement sa solution par l’affirmation que le principe qu’il appliquait, constituait une règle de droit positif (CEF Section 5 mai 1944, Dme Vve Trompier-Gravier , Rec. p. 133, G.A. n° 58, D.1945, p. 110, concl. Chenot, note de Soto, R.D.P. 1944, p. 256, concl. Chenot, note Jèze). C’est en 1945 que le Conseil d’Etat français en fait explicitement mention, dans divers arrêts

prolifération des règles a, depuis des décennies, inspiré une nouvelle forme, non pas éclatante, mais grise et bureaucratique. En un temps d'inflation ininterrompue de textes, la codification administrative répond à certaines exigences. Un décret du 10 mai 1948 a donc institué une Commission supérieure, à laquelle un décret du 12 sept. 1989 a substitué, pour relancer le mouvement, une nouvelle Commission supérieure. De tout cela sont résultés des ensembles ou sous-ensembles multiples. Or voici que l'on

principales abréviations A. 2d : A. C. : AFDI : aff. : A.J.C.L. : AJ Fam. : al. : All ER : Arch. Phil. Dr. : art. : Ass. plén : ATF : B. : BayObLG : BerGes VR : BGH : BGHZ : Buffalo L. R. : Bull. ASA : BVerfG : C.A. : Cal. L. R. : Cass. : CCI : CE : CEDH : Ch : CIEC : CIJ : Civ. : CJCE : Col. L. R. : Com. : Comm. EDH : Concl. : Cons. Const. : CPI : CPJI : Crim. : Atlantic Reporter, Second Series Law Reports, Appeal Cases Annuaire français de droit international affaire ( s ) American Journal of Comparative

dispositions de la loi 63-19 du 5 février 1963 portant Code de l’Aviation civile du Sénégal modifiée par la loi n°2002-31 du 12 décembre 2002. B. Sources internationales Pour le transport routier international, la Convention de Genève signée le 19 mai 1956 est applicable au Gabon. Cependant, un conflit est possible entre cette Convention et l’Acte uniforme. En matière de transport ferroviaire, il y a d’une part la Convention de Berne adoptée le 14 oct. 1890 avec deux composantes : l’une pour

droit social. Le débat s’est intensifié lors des arrêts rendus par la Cour de cassation le 10 juillet 2002. Par ces arrêts, la Cour impose de façon rétroactive une nouvelle condition de validité de la clause de non-concurrence : la contrepartie financière. Deux rapports sont alors venus appuyer ces critiques doctrinales. Tout d'abord, le rapport de Virville propose d’ors et déjà au sein de sa proposition numéro 10 que « la Cour de cassation se voie reconnaître par la loi la faculté de moduler les effets

— 3 — SOMMAIRE ___ Pages INTRODUCTION.............................................................................................................. PREMIÈRE PARTIE : LE DROIT DE L’AUTORITÉ PARENTALE CONSACRE AUJOURD’HUI L’ÉGALITÉ DE CHAQUE PARENT DANS L’INTÉRÊT DE L’ENFANT ........................................................................................................................ A. DONNÉES SOCIOLOGIQUES RELATIVES AUX RÉALITÉS FAMILIALES............... 7 9 9 9 9 10 11

pouvaient ê dangereux. Art 1386 : « Le propriétaire d'un bâtiment est responsable du dommage causé par sa ruine, lorsqu'elle est arrivée par une suite du défaut d'entretien ou par le vice de sa construction » ; c’est resp du fait des bâtiments en ruine. §3 : Evolution après le CdC Des changements vont intervenir au cours de la 2nd moitié du XIX. Ces changement s’expliquent par : un phéno technique : la France devient un pays indus : les machines peuvent ê sources de graves accidents, c’est ainsi que