émilie nerval
Des hommes parlent de Desroches et s'interrogent sur sa mort. Certains le critiquent suspectant un suicide. L'abbé commence à narrer l'histoire de cet homme. Desroches était rentré dans un régiment dès l'âge de quatorze ans. Un jour, alors qu'il fut nommé lieutenant, il reçut un coup de sabre qui allait le rendre fou et malheureux s'il s'en sortait, affirmaient les chirurgiens. Durant son repos il rencontra Emilie. Ils décidèrent alors de se fiancer. Un jour Desroches expliqua que c'est en tuant un homme, l'unique « de sa propre main » qu'il gagna sa lieutenance; pourtant il n'en était point fier. Par la suite, Desroches rencontra le frère de son épouse: Wilhelm qui un jour narra l'assassinat de son père à des officiers. L'un deux reconnu dans son histoire, celle de Desroches et spontanément il lui en fit part. Wilhelm comprit alors que l'assassin de son père était son beau-frère. Par conséquent il voulut venger son père en duel contre Desroches, qui refusa immédiatement. Pour finir, l'homme se retira et parti dans un régiment, où il trouva la mort peu de temps après.
Octavie
Le narrateur se dit attiré par l’Italie. Il s’arrête d’abord à Marseille. Tous les jours, il rencontre une jeune fille anglaise, Octavie, à la mer. Le narrateur part pour l’Italie. Un soir, alors qu’il est au théâtre, il aperçoit Octavie. Le lendemain matin, ils se parlent. Elle lui donne rendez-vous au « Portici ». Le soir, il va voir un ballet et il est invité à prendre le thé. Plus tard, il fait la rencontre d’une femme qui devient un amour contrarié, la rencontre se produit comme dans un « rêve ». Il en parle dans une lettre qu’il a adressée « à celle dont [il] avai[t] cru fuir l’amour fatal en [s’]éloignant de Paris. » Il se rend à son rendez-vous. Visite de Pompéi. Se rappelant son amour contrarié, il finit par renoncer à Octavie. Dix ans plus tard, le narrateur revient à Naples, revoit Octavie : celle-ci est mariée avec un peintre célèbre qui est totalement paralysé. « La