écriture d'invention et question d'observation
I-Question d'observation :
La description de mouvements de masse de la population est le caractère composant le plus fréquemment tous les textes extraits de Les misérables de Victor Hugo, L'éducation sentimentale de Gustave Flaubert et de La fortune des Rougon de Emile Zola. Ce sont tous des mouvements de révolte de la population face à l'Etat. En effet, dans les trois textes, il est question de la Révolution ayant lieu autour de 1848 en France. Les auteurs des textes veulent donc décrire avec réalisme pour donner un contexte historique. Il s'agit d'une vision très similaire des trois révoltes. Les auteurs dans leur textes décrivent alors une vision massive de la population, ils décrivent une foule de population unie dans un seul et même endroit mais avec un tel nombre que malgré leur regroupement, ils sont tout de même partout. Les auteurs donnent donc une vision extrêmement puissante du peuple, ils nous montrent le nombre gigantesque et l'union de tous les hommes prêts a tout pour accomplir leur révolution. Le texte de Hugo montre un peuple uni dans le travail, le peuple n'est pas puissant ici par son nombre comme dans les autres textes mais il est ici puissant de par la coopération de tous les hommes entre eux . C'est une vision d'une population soudée qui n'abandonne pas son prochain au combat. Chez Flaubert et Zola, il y a une impression de puissance donnée par le nombre « des flots de vivants ». Le Peuple est réuni dans un nombre tel qu'il peut accomplir n'importe quelle tâche en un temps record. C'est donc la vision d'un peuple souverain ( ce qui était recherché par ces mêmes révolutionnaires ) qui nous est donnée.
Une autre vision du Peuple par les textes est la joie, chez Zola, elle incarnée par Gavroche. Il donne une vision heureuse des insurgés, heureux de faire la Révolution car ils savent qu'ils sont puissants et qu'ils ont des chances d''advenir a une société où le peuple