Ère meiji
La restauration de Meiji a été une conséquence directe de l’ouverture du Japon notamment grâce à l’amiral Perry qui a permis au Japon de devenir une puissance mondiale.
Mais l’ouverture du Japon vers l’étranger n’a pas eu que des avantages, elle amena de nouvelles maladies comme le choléra, la dysenterie, la typhoïde ou encore la vérole. Ces maladies vont créer une grande panique au sein de la population japonaise et donc l’ouverture du Japon met fin a une protection contre les maladies dont le Japon avait pu bénéficier auparavant. L’abolition des privilèges
L’empereur Mutsuhito abolit les privilèges en 1871. Les seigneurs doivent rendre leur domaine à l’empereur, les samouraïs se font interdire le port du sabre, et les clans militaires sont brisés.
L’empereur gouverne en « souverain absolu ». Une armée nationale
Une armée nationale est créée et le recrutement militaire est élargi.
L’armée devient une armée de métier et n’est plus une armée basée sur des clans (castes) économiques. Le développement des moyens de transport
Les moyens de transport, comme le train (chemin de fer), facilite le déplacement au sein même du pays. Ainsi, le citoyens se déplacent plus facilement et se dirigent de plus en plus pour travailler dans les villes, où la demande de main-d'œuvre augmente rapidement.
La création du Yen (nouveau système bancaire -monnaie unique-)
A partir de 1871, le Yen va fortement faciliter les échanges commerciaux entre le Japon et l’Occident (mais aussi avec les autres pays asiatiques). Le Shintoïsme, religion d’État
L'empereur devient le grand prêtre du Shinto, d'État et chaque citoyen doit adhérer à un sanctuaire shinto.
L'éducation
L’enseignement devient obligatoire. L’état crée des écoles publiques très rapidement. Le statut personnel
Pour la population, la « Restauration de Meiji » a permis une grande liberté dans la promotion sociale de l'individu. L'accès aux professions et aux