Albert Camus est un écrivain du XX siècle et qui a reçu le prix Nobel de littérature le 16 octobre 1957. Il a écrit un certains nombre de romans dont ce texte tiré de son premier roman qui n’est autre que l’étranger écrit en 1942 qui nous raconte le récit de la vie de Meursault, un modeste employé de bureau, à Alger qui est aussi le narrateur. Il retrace son existence, de la mort de sa mère jusqu’à sa condamnation à mort pour le meurtre d’un arabe. Il n’a pas connu son père et il n’en a pas une bonne image. Il ne croit pas en dieu et trouve que c’est une chose sans importance. Il a une maîtresse qui se nomme Marie, et ne sont pas mariés. Sans illusion sur les principes reconnus par la société (comme la mort, le mariage, l’honnêteté), il se comporte comme si la vie n’avait pas de sens. Il est étranger à la société dans laquelle il vit. Il ne parle pas pour ne rien dire, et n’est pas très bavard vu qu’il a un caractère renfermé et taciturne. Qu’est-ce que ce texte met en valeur ? Dans un premier temps nous parlerons du rôle du soleil dans cet extrait, de sa lumière, sa chaleur et de la souffrance qu’il procure. Et dans un deuxième temps nous parlerons de l’engrenage tragique dans lequel est associé Meursault (le personnage principale).

Tout d’abord ce texte décrit le soleil comme un élément perturbateur à l’histoire par sa lumière, sa chaleur et la souffrance qu’il cause. En premier lieu on va parler de la chaleur qui joue un rôle important dans ce texte. Le narrateur y emploie le champ lexical de la chaleur, plus largement du soleil, par « brûlure », « chaleur », « pleuvoir du feu » et aussi par la répétition du mot « soleil ». A la ligne 5 ainsi que 22 il y a des termes évoquant la chaleur, par exemple a la ligne 22, une métaphore est employé par « pleuvoir du feu » se qui signifie qu’une chaleur intense s’abat sur cette plage. En deuxième lieu, nous avons une lumière et violente qui est associé à une arme ; Ligne 15 « aveuglés », « cymbales du soleil »