De nos jours, la pollution est une problématique qui menace l’existence de notre planète ; on peut apprécier que plusieurs mesures aient été imposées avec le passage du temps. Le sujet sur le double étiquetage est une problématique vraiment pertinente précisément parce que les produits qu’on consomme seront bientôt l’objet de ce type de mesures. Mais, l’éco-étiquetage est-il une mesure qui aide vraiment l’environnement ? Ou s’agit-il d’une mesure culpabilisante qui finalement n’appuie pas l’environnement ? Pour répondre à cette question il sera nécessaire de connaitre les points positifs et négatifs de « l’éco-étiquetage » pour le consommateur pour finalement estimer si celle-ci devient un développement d’une consommation plus responsable avec l’environnement ou seulement une mesure que dérange le consommateur.

Tout d’abord, l’éco-étiquetage est présenté comme une qualité à prendre en considération au moment de choisir un produit. En effet, les éléments que le consommateur prend en considération au moment de choisir un produit par rapport aux autres de la même catégorie sont principalement : le prix et la qualité, et bientôt le bilan CO2. L’importance que cet étiquetage peut représenter sur notre choix est qu’on aurait, si on le prend en considération, l’opportunité de transmettre notre refus aux distributeurs de produits qui ont un bilan CO2 élevé en déclinant l’achat. Autrement dit, on serait conscient de notre consommation et on aurait l’occasion de la maîtriser en montrant notre appui à l’environnement. Par ailleurs, on pourrait visualiser l’argent comme un moyen d’échange et non comme une fin ou une valeur.

Pourtant, dans les facteurs négatifs, les consommateurs pourraient penser que les informations données sur les emballages des produits sont déjà trop nombreuses et, le plus important, se sentir coupables quand ils choisissent des produits avec un bilan CO2 élevé. De plus, comme le consommateur a un budget limité, il peut donner plus