L’eugénisme
Les deux textes évoqués, illustrent le thème pertinent de l’eugénisme qui est aujourd’hui assez controversé, d’un côté les gens qui souhaitent que l’évolution de l’espèce humaine. De l’autre ceux qui revendiquent l’importance de garder notre propre personnalité et physique. Claude Bruaire un écrivain des années 1970, et le philosophe Michael Sandel un professeur et philosophe du XXI siècle sont tous les deux contres l’eugénisme. Mais ils se font comprendre de manières différentes. A travers ce commentaire nous étudierons les similarités et différences entre les procédées qu’utilisent ces deux personnes pour faire diffuser leurs avis. Ainsi que les épisodes qui mènent ces hommes à avoir de telles opinions.
Le premier utilise trois questions rhétoriques pour traiter l’eugénisme. Il donne son avis, à travers des questions, en les répondants lui-même. Il n’avoue pas les modifications mélioratives que l’eugénisme peut avoir sur le corps humain, alors qu’il les cite. Tandis que le deuxième texte est plus claire dans sa démarche. Il accepte les aides que peuvent apporter le changement de génétique, mais il fait quand même comprendre son avis, sur le débat.
Pour Michael Sandel l’homme n’est pas une machine, et que ceux qui traitent le corps humain ainsi, dégradent la personne humaine. Son homologue parle aussi du même sujet, en critiquant le fait d’éliminer ce qui fait une personne. Donc en invoquant que l’originalité prend le dessus sur « l’espérance de vie, et le rendement du travail. »
En somme le deuxième texte traite les thèmes qui proviennent de l’eugénisme, la révocation de maladies pour l’instant incurables, la solidarité sociale, et la religion, plus profondément. En admettant le bien qui peut se produire à travers l’eugénisme, on pense que l’orateur est en train de brouiller ses cartes. Mais cette énumération de thème en faveur de l’eugénisme n’est qu’une forme de stylistique, car il réfute que l’originalité de l’homme est plus importante que