L’eau et la maternité dans Moi, Tituba, Sorciere..

283 mots 2 pages
Comme les environs où je le lisait- notre ville bien-aimée de roses- l’oeuvre de Maryse Conde, Moi, Tituba, Sorciere… comporte une quantité remarquable de l’eau. Cette réapparition suspecte surement merite un exploration plus approfondie. à la fois fictif et biographique, son roman est en meme temps un temoignage et un journal intime, mais il me semble que la préoccupation de Tituba avec de l'eau est purement littéraire. La métaphore est au travail au long de son recit; elle fonctionne comme une actrice dynamique dans le mythos de Tituba, définie et redéfinie perpétuellement par son expérience vécue.
Le préavis donné dans l'épithète, « ...Lyfe is a lake that drowneth all in payne » (9)

ne suffit pas de préparer le lecteur pour le récit suivant. Le lecteur doit commencer avec le

commencement sans défense contre le rupture qui est en effet le premier impulsion de l’oeuvre:

la conception de Tituba. Elle commence: “ « Abena, ma mère, un marin anglais la viol sur le

pont du Christ the King, un jour de 16** alors que le navire faisait viole vers la Barbade. »

(13) Voici : la première instance de la maternité déformée1

contracte le corps de la femme noire, et qui dirigera le destin de Tituba.

Cet acte de violence a des implications odieuses pour la mère et son enfant. Comme

un traumatisme qui persiste dans leur mémoire partagée, il est aussi une histoire d’origine

uniquement aquatique. Cela se passe sur l'océan Atlantique, en transit de l’Afrique, le pays natal

de Abena, à Barbade, le pays natal de Tituba. L’océan est littéralement l‘immensité vérifiable

qui les éloigne, mais il est en plus une espace intermédiaire, un éther de l'au-delà, quelque place

entre l’avant-naissance et

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