lettre ouverte lettre ouverte
Ma plume n’avait pas eu jusque-là le courage de noircir les pages de ce blog. Mais aujourd’hui, je dis stop et me lance ! Car j’étouffe et j’ai besoin d’extérioriser cette rage et cette aversion croissante envers ce mot « hchouma » qui m’a anéantie. Cette « hchouma » a détruit un bon nombre de femmes, peu importe leur religion, peu importe leur nationalité, chacune d’elle vit ou a vécu des choses tout comme moi, dont elles n’arrivent pas à en parler à cause de l’éducation qu’elles ont reçue ou à cause du patriarcat familial, des traditions ou plutôt à cause de la religion. Certaines étaient contraintes de vivre et de supporter les monstruosités, la violence, le dédain, la discrimination masculine, et parfois même l’asexualité de leur conjoint, tout cela à cause de « hchouma » Vous êtes surement en train de vous posez des questions… mais où veut-elle en …afficher plus de contenu…
J’y arrive.« Hchouma » est une vermine qui grandit avec chaque être humain qui a vu le jour dans ce monde chaotique, un monde dominé par la mondialisation et le terrorisme, un monde en perpétuel évolution, un monde régit par la loi du plus fort, la loi des mâles, des traditions et la religion n’en fait pas abstraction. Mais cette vermine, savez-vous qu’elle est plus envahissante quand on nait femme ; alors là, tous les malheurs de cet univers s’unissent pour s’abattre sur elle dès sa venue au monde, lui rendant ainsi la vie difficile au fur et à mesure qu’elle