L'économie du développement durable
La recherche de la croissance à tout prix face à ses limites puisqu’elle va générer des conséquences négatives pour les hommes et des catastrophes naturelles. Beaucoup de polémique mais la question reste essentielle.
I- La croissance économique est-elle compatible avec la préservation de l’environnement ?
A- Le bien-être au-delà de la croissance économique
1. Plus riches donc plus heureux ?
a. Le PIB, un indicateur limité tout comme l’IDH
Les pays les + développés sont aussi ceux qui ont les scores les + élevés en terme de bonheur et . Il y aurait un lien entre dvlpt et bonheur mais pas de manière auto (France). Entre 1970 et 2008 les revenus ont bcp ++ alors que la proport° de gens heureux a stagné (proche de celle de la santé sociale) et la situation financière arrive après les facteurs familiaux et de santé.
Paradoxe d’Easterline : Au delà d’un seuil acquis, un enrichissement supplémentaire ne fait pas croître le bonheur des populations.
Tendance à se comparer aux autres, si nos revenus ++ - que la moyenne, cela peut être source d’insatisfaction
La question du bien-être n’est pas due qu’au facteur monétaire. On peut avoir des indicateurs subjectifs qui reflètent la perception et le ressenti des indv. (bonheur objectif indicateurs composites santé/sécurité…)
L’habitude de l’++° liée à la richesse créée, l’insatisfaction sur le long terme quand on ne peut pas acquérir davantage
Cr éco peut améliorer b-ê ar distribue des revenus, pvr d’achat confort matériel + financement d’infrastructures de dvlpt (santé, éducation)
Cpdt l’++du PIB ne doit pas être confondue avec l’++ du PIB Paradoxe d’Easterlin, diffusion inégale des richesses, indicateur quantitatif et unidimensionnelle, externalités négatives liées à l’envt
b. A l’origine du b-ê les quatre capitaux
Capital physique : biens produits par le passé par l’homme et utilisé comme moyens de prod° (machines) Réalisat°