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Nicolas Flamel (vers 1330 ou 1340, peut-être à Pontoise – 1418 à Paris), est un bourgeois parisien du xive siècle, écrivain public, copiste et libraire-juré[1]. Sa carrière prospère, son mariage avec une veuve ayant du bien, et ses spéculations immobilières lui assurèrent une fortune confortable, qu'il consacra, à la fin de sa vie, à des fondations et constructions pieuses. Cette fortune, que la rumeur amplifia, est à l'origine du mythe qui fit de lui un alchimiste ayant réussi dans la quête de la Pierre philosophale permettant de transmuter les métaux en or. À cause de cette réputation, plusieurs traités alchimiques lui furent attribués, de la fin du xve siècleau xviie siècle, le plus célèbre étant Le Livre des figures hiéroglyphiques paru en 1612. Ainsi, « le plus populaire des alchimistes français ne fit jamais d'aNicolas Flamel
Nicolas Flamel (vers 1330 ou 1340, peut-être à Pontoise – 1418 à Paris), est un bourgeois parisien du xive siècle, écrivain public, copiste et libraire-juré[1]. Sa carrière prospère, son mariage avec une veuve ayant du bien, et ses spéculations immobilières lui assurèrent une fortune confortable, qu'il consacra, à la fin de sa vie, à des fondations et constructions pieuses. Cette fortune, que la rumeur amplifia, est à l'origine du mythe qui fit de lui un alchimiste ayant réussi dans la quête de la Pierre philosophale permettant de transmuter les métaux en or. À cause de cette réputation, plusieurs traités alchimiques lui furent attribués, de la fin du xve siècleau xviie siècle, le plus célèbre étant Le Livre des figures hiéroglyphiques paru en 1612. Ainsi, « le plus populaire des alchimistes français ne fit jamais d'alchimie[2] »lchimie[2] »Nicolas Flamel
Nicolas Flamel (vers 1330 ou 1340, peut-être à Pontoise – 1418 à Paris), est un bourgeois parisien du xive siècle, écrivain public, copiste et libraire-juré[1]. Sa carrière prospère, son mariage avec une veuve ayant du bien, et ses spéculations immobilières