l'insuffisance au phosphore
Sources : INSERM
Introduction :
L’insuffisance rénale voit sa prévalence augmentée au sein de la population, du fait de l’augmentation du diabète et de l’hypertension, qui sont dû en partie à une alimentation riche en sucres, sels et graisses (et au tabagisme), avec un manque d’activité physique.
Elle atteint 9,4% de la population ( avec 2/3 d’hommes), assez rare avant 45 ans, elle l’est beaucoup moins après 65 ans. Elle est dans les premiers stades silencieuse, les symptômes se font ressentir à un stade avancé de la maladie.
Causes : 25% dû au diabète et également 25% pour l’hypertension, d’où l’augmentation constante du nombre de cas. glomérulonéphrites primaires, ancienne première cause, concerne aujourd’hui 15% des cas. Seul 6% des cas par polykystose rénale, et 15% de cause inconnue…
L’évolution de la maladie varie d’une perte de la capacité hépatique de 3% (maladie héréditaire) à 12% (diabète, très dangereux).
Recommandations : Il faut donc limiter les apports protéiques, et en sels. Il faut également traiter les causes de l’insuffisance (taux de LDL notamment) en limitant les aliments salés (apéritifs, charcuteries) ne pas saler les plats, limiter les sodas et biscuits, pratiquer une activité physique (30min par jour), et arrêter de fumer quelque soit le stade de la maladie.
2) Insuffisance rénale et hyperphosphorémie :
Introduction :
Conformément à ce que nous avions supposé, une insuffisance rénale peut engendrer des taux de phosphore trop élevés dans le sang, mais une hyperphosphorémie (taux >1,45mmol/L) est le plus souvent asymptomatique, ou peut parfois provoquer des troubles osseux et articulaires en se liant au calcium (déficit en calcium libre) et/ou en formant des dépôts. Elle peut également provoquer des symptômes similaires car le phosphore stimule la production de parathormone.
Consommation : Il est conseillé de ne pas dépasser un apport quotidien de 700mg/jour de