l'importance d ela lecture
Dans le Gone du Chaâba nous pouvons observer plusieurs passages dans lesquels la lecture est évoquée et mise en valeur. Deux exemples nous le prouvent. Le premier nous le montre lorsqu’Azouz lit le soir avant de s’endormir et même un peu avant. De nouveau la lecture est mise en valeur quand son professeur de français, M. Loubon, lui donne le livre « Les chevaux du soleil ». C’est un livre algérien qui est important matériellement et émotionnellement pour Azouz.
Les livres et la lecture peuvent permettre de sortir d’une situation difficile parce qu’ils donnent de l’espoir, du courage, de l’ambition à ceux qui veulent bien les lire. Dans le livre de Victor Hugo, les Misérables, nous pouvons nous identifier au héros. Jean Valjean, un ancien condamné au bagne, réussit à reconstruire une vie. Ce personnage y arrive grâce à de nombreuses années de travail, de persévérance. Etant parti de rien il finit dans les quartiers huppés de Paris. En lisant ces livres cela donne envie d’y arriver, de réussir. De plus, des livres aussi inspirants ouvrent l’esprit chez les personnes qui le lisent et l’envie de se dire que leur réussite ne tient qu’à eux, qu’ils sont les maîtres de leur destin, que c’est à eux de choisir leur chemin. Pour se sortir d’une situation matériellement difficile la seule personne sur qui ils peuvent compter n’est qu’eux même.
Seulement la lecture n’apporte que l’idée, le rêve ou l’ambition. Elle ne procure ni les moyens financiers, ni les moyens matériels, ni la force morale. Pour cela il faut être quelqu'un de persévérant, de battant. Ainsi, afin de sortir de ces situations, il faut bien plus que de la lecture. Il faut avoir la force physique et la force mentale. Il ne suffit pas de lire un livre pour que d’un seul coup, nous pouvons nous permettre d’habiter dans un espace plus grand ou encore avoir plus de moyens. Il faut travailler d’arrache-pied pendant des années et des années. Dans le Gone du