Titre de conférence : « L’économie du savoir : éléments d’approche »
Conférence tenue le 04 Octobre 2013 à l’amphithéâtre de l’ENCG-K
Abderrahmane Tenkoul, ex président de l’Université Ibn Tofaïl, a présenté une conférence dont le but est de familiariser les étudiants du S1 avec la notion de l’économie du savoir. Qui désigne une nouvelle phase de l’histoire économique, celle de l’immatériel et de la connaissance : L’économie post-industrielle.
M. Tenkoul a divisé sa présentation en 10 axes :
L’objectif de cette économie, qui aspire à mieux partager des biens et valeurs, démocratiser les services publics, donner accès à une bonne qualité de vie qui assure la transparence (Liberté d’expression, égalité des chances …) et qui génère les richesses du futur.

La transition vers la société du savoir dans la seconde moitié du XXe siècle (50% du PIB est de source de développement immatériel. Mais dès les années 60 du XXIe siècle on peut affirmer que la société a officiellement passé à la phase post-industrielle.

La nouvelle mission pour l’Etat et la société militante contre les facteurs inhibiteurs (Pauvreté, précarité...) toutefois favorisante des facteurs de développement et de clarté.

Ses impacts : Abandon de l’individualisme comme valeur refuge, développement de l’esprit d’initiative collective, préservation des richesses naturelles et l’adoption d’une politique publique innovante.

Le Maroc sous le règne de S.M Le Roi Mohammed VI a connu l’inauguration de plusieurs projets d’envergure, notamment : Le Maroc vert, les technopoles/parks, le Maroc numérique, les PDR, l’offshoring et l’expérience de l’INDH.

Les vestiges de la mondialisation : Dérèglement des marchés, délocalisations et la marginalisation de nombreuses catégories d’acteurs du développement économique de la société.

Les retombées de la modernité : La polyvalence - L’apparition de nouveaux métiers – Dynamisme des entreprises.

L’intégration des ensembles géostratégiques (UE, pays du