l'argumentation
Il apparait ici un plan clair en deux parties : on utilisera un plan dialectique.Le plan dialectique exprime une thèse dans la première partie, une antithèse dans la deuxième partie et une synthèse (un dépassement) dans la dernière partie. Une première partie : Le pouvoir des oeuvres de fiction sur le lecteur , une deuxième partie : des oeuvres de fiction qui n'ont pas toujours un effet persuasif vis à vis du lecteur , n'oublie pas les transition entre les deux parties et une conclusion nuancée répondant à ta question .
Ici, les "oeuvres de fiction" sont à opposer à tous les genres argumentatifs dont le but est de convaincre le lecteur : discours, oeuvres philosophiques, essais, films documentaires, certains ouvrages scientifiques.
"Agir" peut prendre plusieurs sens : "plaire", "émouvoir", "convaincre", "persuader", "influencer".
On peut donc poser cette problématique : "Est-ce qu'une histoire inventée (conte, roman, pièce de théâtre, poème) est un meilleur moyen pour l'auteur d'avoir une influence sur le lecteur afin de lui plaire, ou de l'émouvoir, ou de l'informer, dans le but de le convaincre ? Ne vaut-il pas mieux avoir recours aux genres argumentatifs qui ne font pas appel à la fiction, tels que le discours, l'essai, l'ouvrage philosophique, ou le traité scientifique ?"
Petite note culturelle : Cicéron (que Voltaire connaissait sur le boût des doigts) disait qu'un discours, qu'il soit politique, judiciaire ou d'apparat, devait replir trois fonctions pour être pleinement efficace :
1. Informer (on doit y trouver les renseignements que l'on y attend)
2. Emouvoir