L'’art et la culture dans le monde de l’homme.
Thèse : Sa thèse est qu’il faut écarter l’art de tous les autres objets de par l’immortalité d’une œuvre d’art et du fait qu’elle rompt avec l’usage courant d’une chose, d’un objet. En effet l’œuvre d’art n’est non pas vitale pour l’homme mais elle sert à embellir le monde, à enrichir la culture humaine et de ce fait elle reste immortelle.
Plan du texte : Apres une brève explication de ce qu’est une chose, l’auteur nous explique qu’elles sont les différents objets de ce monde et ce qui les différencie pour pouvoir nous expliquer la transcendance des œuvres d’arts.
P1 : L’auteur nous explique tout d’abord ce qu’est une chose, et elle nous dit que la définition principale d’une chose c’est donc la forme, toute chose ayant une forme peut être définit comme tel. Une chose ne l’est que si elle peut être décrite et l’auteur donne donc quelques exemples dont elle définira plus tard l’usage : « objet d’usage, produit de consommation ou œuvre d’art » (l.1).
P2 : Arendt met en place dès le début du texte une distinction entre les objets et leur durabilité car ces objets n’appartiennent pas à la nature mais au monde de l’homme. Celui-ci s’invente un monde et tous les objets qui constituent le monde en sont la preuve. Tout d’abord afin de façonner son monde, l’homme a besoin d’objets durables et utiles que l’auteur qualifiera « d’objets d’usage » (l.4) qui comme les œuvres d’art ont la principale qualité de permanence. En revanche l’auteur fait déjà une distinction entre ces deux cas et encore cette fois sur la durabilité. Bien que tous deux soient durables, l’objet d’usage ne subsistera que si sa fonction reste utile à l’homme, si elle l’aide et le sert, elle aura donc une durée de vie « ordinaire » (l.5). A contrario, l’œuvre d’art quant à elle à « une immortalité potentielle » (l.5), elle est destinée à survivre de générations en générations.
P3 : Deux part cette durabilité, ces deux types d’objets ce