L'évolution de la langue française (bts muc 1a)
S'il semble qu'il y a des risques, c'est en réalité un faux problème et la langue française n'est pas menacé.
Il est vrai que les nouveaux langages se multiplient et présentent des risques pour le français traditionnel. Il s'agit surtout des langages utilisés par les jeunes des banlieues ou des cités, comme nous l'indique Béatrice Girard "inventé des mots pour se protéger du monde. Le document 3 parle aussi du langage des jeunes et la photographie représente deux jeunes entrain de parler.
Si les jeunes éprouve le besoin d'utiliser un langage spécifique, c'est pour préserver leur communauté, c'est "un signe d'appartenance". Victor Hugo dans le document 2 soutient la même idée en disant que l'argot, la langue de la misère, qu'il a une fonction sociale, d'où le risque d'exclusion que signale Béatrice girard dans le document 1 "un professeur déplorant que les deux moitiés de sa classe originaire de deux banlieues différentes ne se comprennent pas" et enfin le document 4 montre que nous avons besoin d'une traduction pour comprendre les propos de la jeune fille comme ci ce langage était codé.
Le document 1 signale un risque supplémentaire puisque béatrice Girard nous dit que la tendance gagne du terrain, il devient un phénomène de mode "tout le monde s'en saisi, tout le monde s'y met". Et les mots nouveaux entrent petit à petit dans le dictionnaire.
Le plus grave est que ces langages appauvrissent notre langue : déjà au 19ème Victor Hugo disait que