Lecture analytique 2 Le meurtre de l'Arabe « toute cette chaleur...sur la porte du malheur »

Introduction
Albert Camus est né a Alger en 1813, dans un milieu modeste, il a perdu son père et est atteint de la tuberculose, il a vécu pendant la seconde GM, se n'était pas un combattant il publiée des annonces dans les journaux. Toutes ses expériences font qu'il va s'attacher à la philosophie absurde. Dans le passage, M. est retourné sur la plage seul après une altercation entre son ami Raymond et 2 arabe. M. a gardé avec lui le revolver de Raymond car il voulait éviter que son ami commette un acte irrémédiable. En errant sur la plage,notre personnage semble vouloir retourné à la source. Cependant, il se retourne par hasard face a l'un des 2 arabes.

-En quoi se meurtre est-il absurde ?
-comment se passage montre t-il que M. n'est pas maitre de la situation ?

Une scène en action
Meursault est revenu sur la plage parce qu'il avait trop chaud et il se dirige vers la source « source fraîche..rocher », la chaleur est accablante désagréable et personnifié « s'appuyer » « son grand souffle chaud ». Tout d'abord il voit l'arabe et va s'immobiliser « j'étais assez loin de lui a une dizaine de mètres », il s'avance sans aucune conséquence « j'ai fais quelques pas vers la source », « l'arabe n'a pas bouger » action est apparente, semble étirer dans le temps, avec les mouvements répétitifs « j'ai fait un pas en avant », « j'ai fait quelques pas vers la source » « en me déplaçant d'un pas » → personnage qui agit, il avance et est poussé par une force invisible, il veut se protéger du soleil et au lieu de se protéger dans une ombre il avance alors que l'arabe reste passif. M. qui est retourné sur la plage se retrouve par hasard face à son opposant « j'ai été surpris ». M. observe le personnage et le décrit, l'arabe se trouve ds une position de repos « sur le dos » « les mains sous la nuque » « il s'est laissé aller en arrière », position non agressive, non