L'église et l'etat
A) La question romaine en héritage
En Mai 1871, aprés la prise de pouvoir de rome et sa proclamation comme capitale officielle, lejournal officiel du gouvernement public la loi dite " loi des garanties. Cette loi, qui prévoit que le pape conserve une souveraineté réduite au pouvoir spirituel et au seules enclaves territoriales, du Vatican, des palais apostaliques et de la résidance estivale de Castelgondolfo.
La papauté peut établir des relations avec les souverains étrangers, mais seulement dans le domaine de la politique religieuse. On apercoit dans la publication de cette loi, la supression du pouvoir temporel des papes.
Les papes resteront retisant face à cette loi, Pie IX et son sucesseur Léon XIII à partir de 1878 la repousseront. Il reste cependant important de preciser que malgrès une attitude de rejet de l'etat, un grand nombre de concession seront faite, et cela malgrès une oppositions du partie de gauche
- La rente annuelle attribuée en dotation au pape ( 3 250 000 livres).
- Le respect d'un grand nombre de "prérogatives du souverain pontife et du Saint Siége".
- l'indépendance des prélats et la supression du placet.
- La promesse d'une grande sévérité contre les outrages à a la personne du pape et des ministéres du cultes et la garantie de toute liberté de discussion religieuse.
Malgrés ces concessions faite par l'état, le clergé reste craintif, certains articles pouvant provoqué de grand bouleversement au sein de celui ci, tels que :
- Article XVIII, Titre II " sera pourvu par une loi ultérieure à l'organisation ... et à l'administratation des propriétés écclésiastiques du royaume.
Phrase de transition : Cela nous améne a voir quelle sont les conséquences de cette rupture pour les catholiques italiens. B) Les conséquences pour les catholiques italiens
Se considérant " Prisonnier en ses Etats" le pape condamne le nouvel Etat et ses souverains. Victor Emmanuel II