L'économie
toÉrs
d'une extrême complexité, on simplifier outre mesure et à y plaquer des a priori a tendance à la en guise d'explication : les vertus absolues des libres marchés pour
la façon dont certains pratiquent l'économie. C'est une réponse à l'ignorance. Lorsqu,on ne com_ prend pas comment fonctionnent les choses, lorsque la réalité est
qgr un discours trop empreint d'idéologie, il faudrait pouvoir dire et expliquer comment fonc_ tionnent effectivement l,écono_ mie et la finance par rapport à des modèles trop simplistes. Il n,est pas sûrr qu'une telle connaissance
les uns ou du contrôle de l;Etat pour les autres. Pour dénoncer sans se trom_
quer l'ensemble de l,univers. La connaissance s'arrête souvent à un niveau de complexité trop faible tains intérêts, économiques mais Lussi politiques. On voudrait que économie soit une science avec réponses uniques et indiscumais ce n'est pas le cas.
existe, de la même façon que les physiciens sont incapables at"pti_
rement énoncées, il est possible
d'expliquer un certain nombre
de phénomènes complexes grâce a un.appareil analytique sophis_
pouvoir écarter l'idéologie, ut lorsque celle-ci sert cer-
tiqué, mêlant mathématiques et statistiques. Encore faut_il effec_ tivement, comme on l,a dit pré_ cédemmen! que ces hlpothèses soient réalistes.
De ce fait, qu'est-ce qu,un bon écono_ misteauiourd'hui ?
Pourquoi est-ce uniquement ceux qui publient ces papiers pointus et étroits qui voient leurs travaux reconnus par la profession ?
ce point, Alan Kirman avance que nous avons été piégés par ta vieilte
écon o m i stes d e déve Io p-
ience dans le sens où elle ne t pas fournir des lois univer_ et objectives expliquant le ionnement des économies n tout point de l'espace et du mps. En outre, les comporte_
L'économie n'est pas une
» (I). Ne faut-il pas reconnaître l'économie n,est pas une science des lois objectives ?
ents économiques évoluent même temps que les sociétés ne