W. Stanley Jevons (1835- 1882) est un économiste anglais qu’on considère comme un co-fondateur de l’école néoclassique et de la « révolution marginaliste », tout comme Carl Menger et Léon Walras. Il écrit plusieurs ouvrages, dont celui que nous aborderons qu’est l’économie politique. Dans cet ouvrage, il nous parle de certaines notions tout aussi importantes les unes des autres, comme la valeur, l’utilité, le capital et les salaires.

Avant tout, pour Jevons, l’économie politique doit traiter de la richesse des nations. Elle cherche à expliquer où trouver, les raisons et mécanismes qui font qu’une nation est plus prospère qu’une autre. Selon cet économiste, d’autres disciplines ont aidés à augmenter le bien-être des individus comme la chimie, l’astronomie, la géologie, la philosophie et autres, l’économie politique est un complément à ces sciences d’écrite ci-dessus.

Ces connaissances ont pour but d’améliorer notre quotidien, et quoi de plus utile comme science sociale que celle qui a pour objectif la richesse d’une nation avec tous les bienfaits qui en découlent. Dans cet ouvrage, on s’aperçoit que Jevons va généralement s’opposer à certains anciens économistes pour amener des faits nouveaux, comme la théorie de la valeur. Pour lui la valeur d’un bien qu’il soit physique ou morale, dépend entièrement de l’utilité de celui-ci. Alors que certains économistes attestent plutôt que c’est le travail qui cause la valeur.

Pour amener l’économie comme science tout aussi importante, il va jusqu’à à affirmer que cette science « doit être nécessairement mathématique, simplement parce qu’elle traite de quantité ». Sachant que certaines lois comme l’offre et la demande, mesure la quantité ou bien la variation des prix, il n’est pas envisageable de les expliquer qu’avec la nature propre à eux, qu’est les maths. Jevons prétend que de plus en plus de statistiques sur la consommation des individus est établi et qu’on doit y mettre d’avantages d’effort pour compiler ces