L'école en france
1. la vie est sacrée, nul ne peut y attenter, même l’Etat
2. on peut traiter des malades mentaux, et les réinsérer dans la société. Pourquoi les tuer ?
3. il est intolérable que, dans une société démocratique, des innocents soient condamnés à mort à tort.
4. la peine de mort ne réduit pas le taux de criminalité
5. regardons où la peine de mort est maintenue, et nous aurons une idée de sa valeur (Chine, Texas, etc)
6. la violence n’est pas la solution contre la violence.
7. les pays de l’Europe des 15 ont tous aboli la peine de mort et ratifié le deuxième protocole au Pacte Internationale des Droits Civils et Politiques, excepté la France.
8. parmi les 43 pays qui ont adhéré au Conseil de l’Europe, 40 ont aboli la peine de mort et 3 pays sont sur la voie de l’abolition
9. la peine de mort, c’est favoriser les envies de vengeance au détriment de la raison
10. l’attente dans les couloirs de la mort, ces prisons pour condamnés à mort, sont de la torture pure et simple
11. elle est trop souvent appliquée suite à des procès injustes, voire truqués
12. la peine de mort n’est pas un moyen de légitime défense : elle permet à l’Etat de mettre froidement à mort une personne hors d’état de nuire, parce que déjà arrêtée.
Pour la peine de mort
1. la peine de perpétuité est tout aussi inhumaine : c’est condamner à vivre, tout en sachant qu’on ne sortira jamais. En prison à perpétuité, le condamné perd le peu d’humanité qui lui restait, et devient un animal.
2. un meurtrier, un violeur etc n’a jamais l’impression d’avoir fait du mal, on ne peut attendre qu’il mette lui-même un terme à ses jours
3. il n’existe aucune garantie que les condamnés à mort ou à perpétuité (selon les pays) ne commettront pas à nouveaux leurs crimes s’ils sortent, même très vieux. Mieux vaut supprimer totalement cette probabilité, même si elle est infime.
4. mieux vaut une erreur judiciaire et la condamnation à mort d’un suspect, que