L'ombre du vent
Monsieur Carlos Ruiz Zafón, bonjour,
Ayant eu l’occasion de lire votre œuvre intitulée « L’ombre du vent » récemment, je me permets de vous écrire pour vous faire part de mon compte rendu le concernant. Pardonnez-moi, j’en oublie les bonnes manières ! Je me nomme Mostosi Maxime, élève de dix-sept ans faisant partie du jury littéraire du nom de « Je lis l’avenir » de l’athénée Royal de Pont-à-Celles. Maintenant que les présentations sont faites, revenons- en à votre œuvre que l’on pourrait même qualifier de «chef d’œuvre ».
De nombreux échos positifs à propos de votre livre me sont parvenus par des amis ou par des critiques postées sur internet. Cela m’a amené à me poser ces deux questions : Pourquoi ne pas essayer de le lire ? Pourquoi ne pas avoir ma propre opinions sur ce livre et ainsi, j’espère, pouvoir défendre et confirmer ces échos ? Ces questions n’ont pas dû se poser une fois de plus en moi que je l’avais déjà sous la main, prêt à le dégainer et dévorer chaque page jusqu’à leurs moindres recoins.
Que dire de ce livre à part qu’il est tout simplement magnifique ? Ah oui, il m’a dévoré un bon nombre d’heures de sommeil durant cette semaine, ce que je ne regrette aucunement ! Du début à la fin, l’histoire tellement bien fondée, m’a comme fixé les mains au livre m’empêchant toutes tentatives de fermer celui-ci, ce que j’ai dû tout de même accomplir pour rejoindre les bras de Morphée et ainsi profiter du reste de ma nuit de sommeil.
Le 1er chapitre débute bien avec l’idée de « Cimetière des livres oubliés » qui est vraiment prenante. Daniel, petit garçon de onze ans, hanté par les souvenirs de sa mère décédée, est emmené par son père dans ce lieu mystérieux qu’est ce cimetière. Son père lui demandera de choisir un livre sur des centaines de milliers, ce qu’il fera. Le livre choisi intitulé « L’ombre du vent » changera le cours de sa vie et l’amènera à se poser beaucoup de questions. Chapeau ! Superbement bien