L'intégration européenne
Introduction :
- Effort de définition
- Questionnement autour de l’idée de progrès de l’intégration - Annonce des grandes parties I. L’instrument privilégié de l’intégration européenne : l’Union Européenne A. Concerne un nombre croissant de pays. (liste des fondateurs, rentrés avant 1989, rentrés après 1989, candidatures) L’intégration dans l’UE peut-être confondue avec l’intégration européenne. Une organisation qui combine pouvoir des Etats et des élus. Le pouvoir des différentes organisations Les directives s’imposant aux Etats C. II. L’UE dispose d’un budget propre.
B.
Les progrès de l’intégration européenne A. Une intégration très poussée dans les domaines économiques et financiers. Un marché commun Une politique commune pour l’agriculture et l’industrie (ex : PAC, Airbus…) Monnaie Unique : l’Euro B. Une coopération culturelle et scientifique Echanges universitaires (Erasmus) Coopération scientifique (recherches atomiques) C. La liberté de circulation Garantie à l’intérieur de l’espace Schengen dont l’accord déborde les limites de l’UE Contrôle de l’immigration dans l’espace Coopération pour la lutte contre l’immigration clandestine
III.
Les limites de l’UE A. L’intégration ne concerne pas tous les pays Certains ont refusé (Suisse, Norvège)
Certaines candidatures posent problème (Turquie) B. Il existe des désaccords importants au sein de l’UE Une « Europe à plusieurs vitesses » Les 11 pays exclus de la zone Euro (Royaume-Uni, Danemark, ainsi que les pays rentrés après 2004) Les exclus de Schengen (Royaume-Uni, Irlande, Chypre, Bulgarie, Roumanie) C. Le refus d’une Europe politique et sociale Désaccords en politique étrangère (face aux USA) Le refus d’une politique sociale européenne
Conclusion :
Des progrès incontestables mais difficiles. Actuellement, l’Union Européenne attend la ratification du Traité de Lisbonne qui devrait permettre de faciliter la prise de décision et une politique étrangère cohérente.