L'inondation émile zola
Premièrement, grâce à une description approfondit de la transformation du paysage, Zola démontre le passage du bonheur au malheur des personnages. Afin de démontrer cette transition, Zola va d’abord présenter les aspects du paysage qui démontre le bonheur. Pour démontrer l’attachement des personnages à la rivière, il va utiliser la personnification suivante : « nous ne pouvions la croire mauvaise voisine.»( l.110 ) Ici, la relation sert à justifier la joie qu’elle leur apporte. En effet la Garonne, nourrit leurs terres et leurs bêtes, c’est grâce à elle qu’ils ont une si bonne fortune. De plus, la comparaison « le soleil couchant volait comme une poussière d’or.»( l.148-149 ) qualifie le soleil comme étant la ressource la plus précieuse. Ce procédé sert non seulement à affirmer leurs joies, mais démontre aussi son importance, car ils dépendent du soleil pour avoir de bonne récolte. Cependant leurs bonheur change au malheur lorsqu’il y a l’inondation. Afin d’expliquer l’ampleur de la catastrophe, Zola utilise la métaphore« les vagues s’écroulant avec le tonnerre d’un bataillon qui charge.» ( l.260-261 ) Ce procédé démontre la force et la vitesse de la montée des eaux, démontrant ainsi la grandeur de leur problème. Cette catastrophe terrifie tout la population, les envoyant courir pour les hauteurs en criant La Garonne! La Garonne! La comparaison « comme une meute de bêtes grises, tachées de jaune, qui se ruaient.» (l.245-246 ) démontre la peur des gens. En effet ce procédé compare les eaux à une bête sauvage qui se dirige vers eux pour les engouffrer. Enfin, c’est description positive et négative permette de voir l’évolution du paysage et le passage du bonheur au malheur des personnages.
Deuxièmement, afin d’approfondir sa description du changement entre le bonheur et le malheur, Zola va décrire les changements psychologique des personnages. Au début de L’histoire, les personnages vivent dans un monde idéal. Ils sont tellement heureux qu’ils