L'imposture du 20ème siècle
Ailleurs, dans les Grandes entreprises la comptabilité était confiée aux nécessaires, 5 machines comptables qui évoluaient, redondantes, lentes, onéreuses et bruyantes pérennisées par l’informatique. Elles, encore incapables de sortir les relevés mensuels, sortaient péniblement un résultat à J+45.
Le comble, de sa part ce constructeur proposait son Cdc type pour appuyer sa prétention mensongère ; que les 360/40 savaient faire de la comptabilité tout en annonçant en deuxième page du Cdc, qu'il y avait des difficultés pour la tenue des comptes. IBM, constructeur de ces machines comptables ; reconnues à présent comme redondantes à la SACM, en alerte, devait absolument donner le change, pour éviter l’effondrement subit du marché mondial des machines comptables dont ils étaient preneurs. IBM, dorénavant convaincu que les gros ensembles savaient faire de la comptabilité, savait aussi que depuis 1952, les micro-ordinateurs en panne d’utilisation le sauraient aussi.
C'est ainsi que les ordinateurs de la série des IBM 30 ont pris dans les années 80 le marché immense des ateliers de machines comptables, sans crier gars. Ceux qui entre temps avaient adoptés le Cdc IBM, preuves à l’appui, n’avait plus de comptabilité, car abandonné au profit d’un fichier historique sur cartes perforées, manuellement exploitable. Cette application maintenue pérennisait pour sa part l’immense marché des cartes perforées.
Question : où en serions nous actuellement, sans l’intervention de l’informaticien Gilbert Bitsch, précurseurs de l’informatique ?