L'homme classique
L'homme classique :
C'est là que je l'ai vus pour la première fois, assis à la terrasse d'un café comme chaque matin, je me levait, je m'habillais et j'allez prendre mon petit déjeuner au coin de la rue dans ce fameux bar café. Un matin comme tout les autres je le vis arrivé, il se distinguer des autres tant par ça grandeur que par ça démarche lente et pleine de joie, c'est habits toujours très colorés et ça canne noir dont il ne se servait jamais. D'ailleurs il avait l'air jeune, d'une trentaine d’année. Il s'assit a une table, parla avec une serveuse puis quelque minute plus tard on lui apporta un cappuccino, il resta là plusieurs heure a regardé ça commande sans y touché. Je suis rentré chez moi puis quand je suis revenue vers dix huit heure, il étais là, il ne l'avait toujours pas bue, il semblait heureux mais sont regard se perdait dans l'espace. Le soir je partis avant lui.
Le deuxième jour je le revis, il recommença le même schéma que le jour d'avant, moi pendent ce temps je lisais le journal du matin, comme a chaque fois il n'y avait pas grand chose intéressant, un braquage de bijouterie dans le Xéme, des manifestations dans le monde arabe, une catastrophe lié au pétrole, une jeune fille disparue depuis plusieurs mois, moi le petit vieux que je suis j'ai peur de ce que je laisse a mes enfant.
Le troisième jour il arriva avant moi, cette fois il commanda un croissant et un jus qu'il fini rapidement. Toute la matinée il regarda les voitures qui passé et griffonné des mots sur une feuille de papier, finalement quand je suis revenue a dix huit heure il faisait toujours les même gestes, le blond continua jusqu'à la fermeture du bar.
Le quatrième jour, l'homme fit la même chose que le troisième. Le cinquième, le sixième et le septième également.
Arrivé le lundi, il s’arrêta de regarder les voitures et d'écrire sur la feuille. Le soir venue, il partit avant moi aux alentour de dix neuf heure, il traversa la rue et je remarquais qu'enfaite il habitait