L'héautontimorouménos
L’Héautontimorouménos
De Charles Baudelaire
Par Randy Sanders L’Héautontimorouménos est le quatre-vingt-troisième poème de la collection de Fleurs Du Mal sous la catégorie « Spleen et Idéal ». Baudelaire a pris le titre L’Héautontimorouménos d’une pièce du même nom de Publius Terentius Afer, mieux connu par le nom Térence. L’Héautontimorouménos veut dire en grec « Le Bourreau de soi-même ».
Dans la pièce de Térence, le titre fut une description du comportement d’un père qui se punit parce que il était très méchant avec son fils qui ensuit a fui sa maison paternelle. Etant très riche, le père s’impose une vie très rude en travaillant dans ses champs dans la chaleur de l’été malgré le fait qu’il a beaucoup de servants.
L’Héautontimorouménos le poème référence soit le fait que la victime souffre aux mains du narrateur et que le narrateur se sent mal a cause de ce fait, mais le narrateur n’en peux rien faire, c’est son travaille. Il est le bourreau et l’autre est la victime. Ce sont leurs rôles dans la vie. L’autre possibilité c’est qu’il y a qu’une personne, et il se torture. Il fait mal à lui-même comme une espèce de masochiste. Mais, peu importe la raison, le narrateur est le bourreau de soi-même, l’Héautontimorouménos. Composée de sept quatrains, L’Héautontimorouménos est octa-syllabique, je veux dire que presque tout les vers on huit syllabes chaque un. Les premiers trois vers sont à-propos de la victime du narrateur, et dans les derniers quatre, le narrateur parle de lui-même et de sa propre peine.
Quand il parle à la victime de la douleur dont il infligera il utilise la future simple – ex. Je te frapperai sans colère, je ferai de ta paupière, tes chers sanglots retentiront, etc. Le narrateur fait cela pour signifier deux choses. Premièrement qu’il n’a rein fait à la victime encore mais il voit ce qu’il va faire a cette personne et n’essai point dans le poème de s’arrêter en avance. Et autrement le narrateur aurait pu tout