L’homme est un objet déterminé, parce qu’il évolue dans une société et que par conséquent, est inconsciemment influencé par les différents facteurs qui régissent cette société. Selon le père de la philosophie moderne, Descartes, celle-ci devrait être constituée de lois qui sont basées sur la raison. Cependant, celle-ci est plutôt basée sur les caprices de la monarchie et sur des lois arbitraires. Le peuple n’étant pas beaucoup éduqué, celui-ci ne se fie pas à sa raison mais bien à ses instincts, et obéit aux lois arbitraires. Pour sa part, la position du philosophe Kant abonde plutôt dans le même sens que celle de Descartes. Kant considérait que l’homme qui ne désire pas penser par lui-même ou qui veut empêcher les autre de tenir leur propre raisonnement commet un crime contre l’humanité. Ainsi, Kant et Descartes s’entendent pour convenir que les êtres humains vivant en société son des objets déterminés puisqu’ils vivent selon des règles irrationnelles mises en place. Plusieurs autres facteurs peuvent influencer le développement de l’homme. Par exemple, Skinner soutient le déterminisme environnemental. Cette théorie explique ou interprète le comportement humain par l’influence du milieu culturel. Selon lui, l’éducation, les pressions sociales et les valeurs du milieu ayant été inculquées à l’humain façonnent sa personnalité et son comportement. En d’autres termes, l’humain est une page blanche ou au cour d’une vie on peut y écrire ce que bon nous semble. Vers le début du 19e siècle, l’apparition de classes sociales distinctes permet à Karl Marx d’amener un nouveau type de déterminisme. Celui-ci propose plutôt que les idées, les gouts et le caractère d’une personne sont grandement influencés par son activité économique. À son avis, l’être humain ne peut pas penser par lui même, il est limité par sa classe sociale. En société, le mouvement de pensée de la classe dominante est inconsciemment et inévitablement transmis à toutes les autres classes. Ainsi, l’être humain