L'esclavage
« L’esclavage est une affaire de politique »
L’existence de l’esclavage n’a pas cessé de vivre. Après toutes ces lois et ces retournements de situations, l’esclavage continue toujours de maltraiter encore beaucoup de pauvres gens partout dans le monde. Mais, apparemment, l’esclavage est une affaire de politique et seuls les Etats peuvent le supprimer.
Pour certains pays, l’esclavage ne concerne que l’Etat lui-même mais l’Europe, en particulier, fait déjà tout pour que tous ses pays soient au même niveau à propos des lois.
Tout d’abord, les Etats solitaires tels que la Belgique et l’Italie font figure d’exception et témoignent de mettre en œuvre une politique efficace de lutte contre la traite des êtres humains car ces deux Etats étaient les plus touchés par ce phénomène. Ces deux pays ont mis en place un véritable arsenal juridique de protection des victimes et se sont dotés d’organes spécialisés en matière judiciaire et policière. Les autres pays européens font preuves d’un manque de volonté. Ils ne font pas de changements de ce côté-là.
Pour continuer, dans certains pays tels que la France, des jeunes filles d’Afrique sont emmenées en France pour devenir des femmes à tout faire : ménage, courses, cuisine, enfants. Elles travaillent jusqu’à 18h par jour sans repos ni vacances. Elles dorment sur le sol ou enfermées dans des caves et doivent se laver dans les toilettes. En plus de cela, elles sont insultées, violées et battues. Et le reste de l’Europe ne fait rien pour changer cela.
Ensuite, l’esclavage sous toutes ses formes est interdit par plusieurs textes internationaux, notamment la déclaration universelle des droits de l’homme et la Convention supplémentaire de l’ONU de 1956 relative à l’abolition de l’esclavage, de la traite et des pratiques analogues. En droit international, des textes spécifiques à la protection des enfants ont été adoptés, comme la Convention de l’ONU relative aux droits des enfants et la Convention n°182