L'enfant m. montessori cpte-rendu de lecture
Maria Montessori - 1935 MM a une présentation qui lui permet d'être comprise par tous. Approche parfois scientifique ou spirituel etc... bcp d'images et d'exemples concrets. Bcp de choses défrichées par MM sont aujourd'hui des acquis. Le gpe se pose la question de savoir quelles autres pédagogies existaient. Comparaison par rapport à Freinet par exemple de façon à ce qu'on puisse situer cette pédagogie par rapport à d'autres. MM estelle bien la seule qui ait développé du matériel pédagogique. On voit qu'elle part vraiment de l'observation comme un scientifique puis en tire des conclusions. Page 33 : "Ces instincts peuvent servir de guide, puisqu'ils donnent l'élan à une activité déterminée qui peut parfaitement être différente de celle qui caractérisera l'individu à l'état adulte" Tous les enfants vivent les mêmes périodes sensibles mais selon l'environnement et leur personnalité propre, ils deviendront des adultes différents : c'est ce qui fait leur individualité. MM insiste sur le fait que la période sensible permet à l'enfant une conquête naturelle de certaines caractéristiques propres à l'homme ; caractéristiques qu'il ne pourra acquérir par la suite qu'au prix de gros efforts car la période sensible est passagère. Pendant la PS c'est une acquisition inconsciente et donc indolore. Sur les caprices, MM nous explique que ceux liés aux périodes sensibles sont passagers, comme le sont les périodes sensibles elles-mêmes. Cependant, si on peut répondre à l'attente de l'enfant, il retrouvera son calme et il n'y aura pas de traces; Pour le gpe cette phrase n'est pas claire. cf page 36. Nous avons interprété qu'il n'y aurait pas de trace laissée dans les caractéristiques humaines transmises de génération en génération mais qu'il y en aurait dans le caractère propre à cet individu-là. Pendant les périodes sensibles l'enfant se construit psychiquement et la seule façon pour l'adulte de voir où il en est dans ce développement est de l'observer dans ses actions et