L'emancipation des femmes pendant la premiere guerre mondiale
En temps de guerre, alors que normalement les hommes s’occupaient des champs mais étaient parties au front, les villes connaissaient une baisse des productions alimentaires, créant une pénurie.
Avant, la femme était dite comme obéissante a son mari et l’homme comme celui qui permettait la survie de sa famille, mais cela, a vu un changement radicale. A ce moment-là, alors que les femmes vivaient dans l’attente de nouvelles de leurs proches et dans la peur de les perdre, le président du conseil, VIVIANI, passa un message aux femmes le 7 aout 1914, seulement 4jours après le début de la guerre, pour les inciter à travailler et remplacer les hommes parties aux champs de batailles. Viviani utilisa le langage viril de la mobilisation et de la gloire former de phrases à l'impératif et exclamatives ressemblant à des ordres : il s'adresse donc aux femmes comme à des soldats.
Le travail féminin est alors très sollicité et dit comme la bienvenue ; elles se disent enfin reconnues comme des citoyens à parts entières en sachant qu’elles jouent un rôle primordiales.
Le travail féminin dans l’industrie : Le maréchal Joffre à citer que « Si les femmes qui travaillent dans les usines s’arrêtaient vingt minutes, les Alliés perdraient la guerre »
Les femmes travaillent aussi bien dans les secteurs primaires, tertiaires ou secondaires. Elles iront principalement travailler dans les usines d’armement, fabriquer des armes, des munitions d’où le surnom de “munitionnettes”. Il y a un nombre de 430 milles femmes dans les industries d’armements, ou leurs sont délivrer des outils inadaptés. Elles furent nombreuse dans la fabrication des obus (ou elles seront appelées « obusettes »), des cartouches, grenades et fusées, étant principalement des métiers