L'aventure indienne de voltaire
Dans ce texte, Voltaire dénonce le fanatisme religieux qui consiste à brûler ceux qui sont contre la religion catholique et ses pratiques.
Voltaire dénonce la religion, la superstition. On peut en fait dire que le message est digne d'un humaniste puisque la philosophie recherchée par le penseur est la tolérance. C'est un appel à la tolérance que l'on trouve dans beaucoup de ses contes philosophiques. La dénonciation est axée sur le fanatisme religieux, l'arbitraire, l'hérésie qui consistait à brûler les dissidents, c'est -à- dire ceux qui n'adhéraient pas à la religion catholique et à ses pratiques. Les juges sont visés ainsi que le suggère l'expression "les bonnets" : ils étaient aussi au service d'une religion cruelle et injuste. On peut même dire qu'ils se voyaient comme les instruments de Dieu et de sa volonté. Au nom de la justice, ils n'hésitaient pas à pratiquer la cruauté et à accepter les pratiques des bourreaux inquisiteurs
Voltaire dénonce également le fanatisme religieux en mettant en scène une satire critiquant la justice de l'époque.
On retrouve l'idéal du siècle des lumières, le 18ème, la valeur de la raison : l'homme doit se gouverner par la faculté rationnelle et ne plus subir les tyrannies de l'église. L'homme doit juger par lui-même et pour sortir de sa naïveté, il doit mettre le pouvoir de la raison en avant. Le peuple, les juges, les bonnes femmes sont ici critiqués.
L'auteur accuse l'église et les dogmes qui mettent en avant les passions hystériques religieuses au point d'aller parfois jusqu’au meurtre...
On peut donc affirmer que dans ce texte il encourage la foi sans pour autant sombrer dans le fanatisme qu'il dénonce.
Cet apologue est un appel à la tolérance ainsi qu'à la liberté de culte.
Article Torture, Dictionnaire philosophique (1769) :
Voltaire dénonce la torture en France. Il estime que c'est la nation la plus cruelle car elle est pratiquée sans nécessité et par plaisir.
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