L'aventure ambigüe
Durant toute la description des lieux, le narrateur reste fixe, il ne bouge absolument pas. Il utilise des verbes comme « je le suivis du regard », « mes yeux parcouraient » ou « il m’était donné de contemplé ». L’emploi du verbe contempler au passif nous montre bien que tous se passe sous les yeux de Kane sans que celui-ci ai à faire le moindre effort physique. Cette fixité est aussi valable d’un point de vue psychologique : en effet, l’auteur se limite à comparer sa civilisation à la civilisation occidebtale durant tous le texte en employant en permanance un vocabulaire faisant parti du champs lexical de la culture afriquaine : les conques, l’asphalte, le feldsphat,…
Lorqu’il décrit les lieux, kane utilise trois de ces cinq sens. D’abord la vue, qui nous révèle les couleurs sombres et ternes qui composent l’environnement : « gabardine grise », « asphalte » qui est une pierre grise elle aussi, « gris claire de la pierre » noireconque ». Puis le toucher, avec l’évoquation de matières dures et froides : « Pierre », « asphalte », « conque », « granit ». Et enfin l’ouïe avec laquelle on entend des bruits secs et furtifs : « le claquement des souliers », « le bruit des castagnettes », « le claquement des