L'analyse psychologique du concierge dans l'élégance du l'hérisson
Quand on désigne un bon livre, on évoque souvent un personage principal exemplaire et charmant avec de bons qualités. Il est sans doute que un bon personage principal ajouter au niveau d’accueuil du même livre parce que ce genre de personage positif nous donne un bon exemple et remporte le homage de tout le monde. Pourtant, pour un bon livre, son personage principal doit-il lui aussi être bon, c’est-à-dire doit-il être une personne de grande moralité, une personne exemplaire ?
Oui, un bon livre nécessite absolument un bon personage principal. Premièrement ,celui-là gâté par dieu est muni de tous les bons qualités de l’hummanité, comme courage, intelligence, persévérance et indulgence,etc. C’est ce qu’on appelle avec honneur l’héros ou le heroïne. On a tous une disposition naturelle d’idolâtrer nos idoles dès l’enfance. Les personages de bonne qualité deviennent bien sûr des modèles pourchassés. De plus, si l’on remonte à l’histoire de roman, des louanges de’un bon qualité, une grande emotion ou un sacrifice altruiste dominent pour toujours un sujet commun. Les confessions de Jaque Rousseau nous fait voir un home audacieux et déterminé qui ne craint pas à exposer au grand public son aspect obscure et admettre tous ses défauts qu’il a commis. Aussi d’autres sujets comme une mère sacrifié pour leurs enfants, un héros qui sauve une ville voire un pays en dépit de soi, une grande amour entre un couple sont éternellement preferés par des auteurs et louangés par des lecteurs. En bref, on écrit des livres pour conserver de beaux mémoires, pour exalter un haut qualité et définitivement pour affirmer la nature humaine. Donc, l’essenc d’écriture est de presenter en face de tous l’aspect joli de l’humanité et c’est la responsabilité des auteurs de prendre en charge la propagation de toute qualité par des personages principeaux. Tout compte fait, un bon personage principal s’impose totalment.
Non, pour un bon livre , son