J'en sais rien
Sauf … Les belles et tendres verges. Ca par contre, ma foi c’est quelque chose qui m’émeut et ce au plus profond de mon anus huilé par toutes ces matinées d’automne. Je m’appelle Alexis, une fois je suis tombé sous le charme d’une jeune pucelle de treize années, j’en avais dix sept … C’Était assez étonnant, elle aurait pu me demander de jolies lunes sous satin bleu, des pierres volcaniques et des radis je lui aurait apporté, donné avec un sourire en amande orange.
La gamine était maigrelette, elle portait sur ses frêles épaules le poids d’années lasses, banales, des années de Bretagne et c’est tout … Quelle litanie mon dieu ! Un jour j’ai voulu lui caresser la glotte, la garce a refusé.
Un jour j’ai voulu lui lécher l’orteil, elle a accepté, elle trouvait cela amusant, palpitant de jouer avec ce si doux verni, de le voir se perdre sur mes dents blanches et maladroites. Nous en sommes restés là, ma foi c’était déjà bien.
Mon plus grand fantasme était de me taper une negresse, lui balafrer son bon gros cul bien dodu, d’y enfoncer mon épée pointue et de regarder ce qui s’y passe ! N’Est-ce pas formidable ! Je voulus me faire une japonaise mais ce ne fut point possible… je suis allergique au sashimi. Ceci et temps je parviens à baiser une rousse, voici ce que cela avait donné :
- Oh Monique … Dis je en m’avançant tel l’homme qui rentre du travail en attendant son cognac.
Vas y je vais te défoncer, tu le sais pas, mais je bande rien qu’a l’idée de te voir hurler sous mes assauts, la je me branle à la pensée de ton corps nu qui se tord de douleur avec ta bouche qui dans un gémissement roque hurle encore et encore subissant dans un fracas, le phallus salvateur de mes insultes viriles : salope t aime ca, sale pute. Ta petite chatte dégoulinante de foutre, ta belle poitrine bondissant ses petits seins….Hmmm. Ta croupe de grosse salope a la limite de l’orgasme… Putain le jus me monte rien que d’y penser …
Je suis entrain de branler