François Pierre Guillaume Guizot, né sous la monarchie de droit divin à Nîmes dans une famille bourgeoise et protestante et il est mort, quand la IIIe République poussait des racines déjà solides. Il était pendant un demi-siècle l’une des personnalités les plus en vue en France et en Europe. Ses parents se sont mariés secrètement mais l'idylle familiale n'était pas trop longue. Son père, André Guizot, accusé de fédéralisme, était guillotiné à Nîmes Le 8 avril 1794. À partir de ce moment, sa mère prit en charge son éducation. C’était une femme frêle, aux manières simples, mais avec une grande force de caractère. Elle formait le caractère de son fils et partageait toutes les vicissitudes de sa vie. Chassés de Nîmes, Madame Guizot et son fils sont partie pour Genève, où il a reçu son éducation. Elle était fermement libérale et elle adoptait même l'idée, que tout homme devait connaître un métier manuel. Alors, Guizot a appris la menuiserie. Physiquement fort, Guizot, bon cavalier, avait une puissance de travail considérable. Le travail dans le publiciste
En 1805, Guizot est revenu à Paris pour poursuivre ses études de jurisprudence. Il se mit bientôt à écrire dans un journal, le Publiciste, ce qui l’introduisit dans le milieu littéraire parisien.
En 1812, Guizot a épousé l'écrivain Pauline de Meulan. Aristocrate de naissance, a dû de gagner sa vie dans la littérature et engagée pour la rédaction d’une série d’articles dans le Publiciste. Quand elle est tombée malade, François Guizot écrivait pour son article. Cette amitié s'est transformée en amour, malgré le fait que Pauline était âgée de 14 ans. Ils ont eu un fils nommé François qui est mort 18 ans après sa naissance. En 1828, Guizot a épousé Elisa Dillon, nièce de sa première femme et également auteur. Elle est morte en 1833, laissant deux filles un fils, Maurice Guillaume (1833-1892), qui acquit une réputation comme savant et auteur. Après, la compagnonne de la vie de Guizot était princesse Lieven même si