A une dame créole
Problématique : Comment la rêverie poétique fait-elle se correspondre la femme et le paysage ?
Introduction :
I-Une rêverie amoureuse et visionnaire :
Le mouvement du voyage semble être celui d’une rêverie sensible vers un ailleurs indéterminée. Vers un lieu idéalisé à l’image de l’être aimée. A) Les êtres en présence à travers le jeu des possessifs : (la création d’un espace affectif)
L’apostrophe qui ouvre le poème sur la juxtaposition « mon enfant, ma sœur » Vers.1. Ouvre enfaite un espace affectif et tendre qui s’élargie. Enfant et sœur prenne des connotations affectif et la répétition de l’adjectif possessif qui crée un rythme « Mon/Ma » ; Alternance masculin et du féminin qui crée un effet de dédoublement qui se résout, qui s’unifie dans « ensemble » Vers.3. On note une forte présence des possessif alors que les être en présences ne sont pas nommés (l’inspiratrice et la destinatrice du poème Marie d’Aubrun, comédienne rencontrai en 1948). Les possessif « mon esprit » Vers.9 ; « tes traitre yeux » Vers.11 ; « Leurs larmes » Vers.12 ; « Notre chambre » Vers.17 ; « Sa douce langue natale » Vers.26 ; « Ton moindre désir » Vers.33. Au fur et a mesure s’ajoute des connotations affectif, voir amoureuse. On passe de mon enfant à traitre yeux, de l’enfant à la femme. La finalité le but du voyage s’entoure de connotations amoureuse « Songe à la douceur d’allez vivre ensemble » Vers.3 ; « Au pays qui te ressemble » Vers.6 ; « Assouvir ton moindre désir » Vers.32-33. L’anaphore langoureuse « aimer à loisir, Aimer et mourir » Vers.4-5. Les deux pôles du voyage sont l’amour et la mort. A cela s’ajoute des douceurs sonore grace au jeux des aliterations. Phénèmes en [m] et [S] très doux. Douceur dénotée au vers 2 et vers 26.
C’est différents éléments contribues donc à la création d’un espace affectif. B) Un voyage dans un visage :
Le mouvement du poème est celui du miroir du reflet