a new york
Le poème "A New York" est issu de Ethiopiques (1956).
New York est la ville phare, typique du XXème siècle, les gratte-ciel apparaissent, la ville a changé.
Fascination / répulsion
Annonce des axes
Commentaire littéraire
I. La fascination de l'auteur pour cette ville
Personnification de la ville : le poème commence par une apostrophe : "New York !". La ville est tutoyée "ta beauté", "tes yeux" ; aspect d'un corps humain : "sourire de givre", "muscles d'acier", "peau patinée" -> personnification, la ville était paraît presque humaine. "beauté" : premier mot qui décrit la ville "ta beauté" -> renvoie à la beauté des femmes new-yorkaise. Apposition : ambiguïté entre la beauté de la ville et la beauté d'une femme "ces grandes filles" / métonymie : mélioratif "d'or" pour blondes. Champ lexical du froid : "métal bleu", "beauté froide" => le premier abord de la ville est froid, et impressionnant (anaphore de "Si timide" montrant que le poète est impressionné par New York). L'auteur a des "yeux de chouette" => idée de grands yeux grands ouverts => curiosité et étonnement du poète face à New York. Puissance de New York : "dont les têtes foudroient le ciel", "Les gratte-ciel qui défient les cyclones" -> New York est capable de défier les forces de la nature. Orgueil de la ville qui défie la nature.
"D'abord" (ligne 1) laisse penser qu'il y aura un ensuite, donc ce mot annonce un changement qui aura lieu plus