Le ghetto pleure car nombreux sont les drames, un poto meurt & c'est le retour aux larmes mes frères mes soeurs vos coeurs remplis de charme la paroles sont plus fiables que toutes ces armes. Le respect à changer de vocabulaire, c'est la paix du ghetto qui nous rends plus vulgaire, à quoi va ressembler notre avenir ? Mais dis-moi stp qu'allons devenir ? La mémoire remplis de souvenirs, Cette histoire va peut être me guérrir. Les journées à squatter le bancs des accusés ont y restes comme un tableau dans un musée. Les jeunes veulent s'amuser sans se niquer la santé, le diable nous a connu & il en est enchanté. Me crois pas mais derrière sache qui y'a du monde. H24 sur l'terrain personne est serain, ça deal & ça frime & meme en R1, ça casse ou ça brise même tes reins. Y'a des choses qui m'tienne à coeur, des sentiments qui me font peur, car les potes n'sont pas réel & des parfois j'ai peur qu'ils meurts. Les potes & les putes sont pas si différents, on t'laisse pour une salope en t'pensant indifférent, j'les aiment & j'les déteste, on traine, on vit ensemble & c'est chacun son chatiment. Trop de fois mes frères deviennent adversaires, cette fois j'men fou de les satisfaires. En faite c'que tu penses Wallah que je m'en fou. On coupe à nos dépenses & c'est ça qui rends fou. L'amitié est une richesse que peu de gens connaissent, j'ai la plume de la tristesse & ça avant que je naisse. On vieillit, on vieillit sans pensé à notre jeunesse, on trahit le trio & c'est ça qui nous blesses. Si tu tombe c'est la tombe & bah moi je t'aiderais, poser ce fait dans l'ombre ou le mal c'est incarné. Nos daronnes se mettent à pleurer, écoeurer de nous voir poser toute la journée. Chèr Dieu je t'adore évite moi le miradors, purifie mon corps, change moi de ce décors, montre moi de nouveau norme, des règles de bonhommes, tous guidés par nos hormones. Comprends ce que je dis, Vendredi n'est pas jeudi. Vie sans avis & ta vie s'ra plus