A au pays des merveilles
Le livre est conçu comme un assemblage de petits contes, onze au total. Tous ont une morale et peuvent être considérés comme une histoire à part entière. Les réflexions sont toujours judicieuse et très bien illustrés. Ainsi, Lewis Carroll fait évoluer Alice, . En effet, chaque personnage qu’ils soient représentés sous les traits d’une carte ou d’un animal représente un adulte et toutes les réactions qu’ils peuvent avoir, toutes les réflexions qu’ils émettent, tous les discours qu’ils font, sont celles qu’un adulte peut faire à un enfant. Tout est donc hautement imagé sans pour autant être difficile à comprendre. Il faut en effet se souvenir que l’auteur cherchait à s’adresser à des enfants. Et le message est clair et limpide. Non, les enfants n’ont pas toujours tore et leurs remarques sont parfois d’une logique qui dépasse l’adulte déjà sorti du moule que lui a imposé la société.
Le style est quand à lui très imagé. L’imagination dont fait preuve l’auteur pour restaurer les situations est formidable. On se régale à lire des dialogues souvent absurdes et échevelés .
On reste tout au long de la lecture à l’affût d’un nouveau rebondissement. Ce que je reproche à