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La Grille, moyen fondamental de l’analyse
Cette rubrique présente des notes et documents publiés par Philippe Latour, enseignant au Master Géomarketing et stratégies territoriales des entreprises et des institutions publiques.
Vous pouvez retrouver ces publications, ainsi que d'autres thèmes, développés sur le site www.spatialist.fr ainsi que dans l'ouvrage "Géomarketing : Principes, méthodes et applications"
Les représentations traditionnelles et leurs limites
Les systèmes d’information géographique sont conçus pour afficher une donnée avec un choix de représentations diverses. Afin de positionner une donnée dans l’espace, il est indispensable de connaître ses coordonnées. Les coordonnées X,Y traditionnellement utilisées en France dans le système de projection Lambert 2 étendu correspondent au nombre de mètres calculés depuis l’intersection de l’abscisse et de l’ordonnée d’un graphique qui contiendrait la totalité du territoire métropolitain (depuis 2002, le système officiel est le RGF 93 et les mètres ont été remplacés par des degrés). A partir d’une adresse (lieu repéré dans l’espace par une désignation qui existe dans la carte) une opération de traitement, le " géocodage ", permet d’obtenir les valeurs X et Y. Celles ci autorisent l’affichage automatique d’une représentation de la donnée au point précis calculé. L’affichage de ce type est appelé symbolique, les éléments servant à représenter les données géocodées étant des symboles.
Master Géomarketing et Stratégies territoriales des entreprises et des institutions publiques www.master-geomarketing.com
Tous ces modes de représentation (points, boules, camemberts, histogrammes, logos, codes barre….) peuvent être qualifiés au mieux de descriptifs, sinon d’anecdotiques, en ce sens où ils ne peuvent décrire qu’un faible volume de données sous une forme fragmentée; ils ne fournissent pas une information synthétique sur la zone étudiée et ne peuvent pas, tels quels, faire