voilà
Pour notre part, notre gouvernement a décidé qu’une commission d’enquête qui a pour mandat d’assurer des meilleures pratiques dans l’avenir et de nous éclairer sur la corruption faite au Québec dans le domaine de la construction serait la meilleure.
Un mandat qui, je le concède, semble bien à première vue. Cependant, voyons-nous vraiment de bons résultats à ce jour, de cette commission qui dure déjà depuis plus de deux ans.
Il est clair que chacun d’entre nous semble être d’accord qu’il y a un problème de corruption au Québec. Par contre, pour ma part, je crois qu’il y a d’autres solutions pour contrer ce problème. Il faut des solutions concrètes et empêcher les personnes qui corromps davantage le Québec.
Prenons par exemple l’Unité Permanente Anti-Corruption, une organisation visant à lutter contre le trafic d’influence, la corruption et la collusion fondée en 2011. Grace à cette organisation, on a fait 66 arrestations et on a émis plus de 30 millions de dollars d’amendes pour fraudes fiscales. C’est aussi celle-ci qui a découvert les fraudes dans les cabinets des maires de Montréal, Laval et St-Constant.
Il est donc évident que cette unité est une solution qui avantage bien plus les québécois qu’une commission qui conclura par des recommandations peu susceptibles d’être appliquées.
Il nous reste donc à faire notre choix….
Voulons-nous vraiment d’une commission qui sert à nous éclairer, mais qui, finalement, nous propose aucune vraie solution ou des actions concrètes comme l’Unité Permanente Anti-Corruption a pu le faire?
De plus, rappelons que la commission Charbonneau a d’abord pour but d’informer, NOUS, les québécois afin que nous soyons mieux au courant de ce qui se passe dans le domaine de la construction. Et je