Violence
De nos jours, plusieurs jeunes souffrent de violence familiale dans le silence par peur de décevoir leur père ou bien leur mère. On entend par violence familiale que c’est de la violence parentale, un mauvais traitement infligés aux enfants par le père ou la mère, qui est aussi appelés, maltraitance, et les agressions sexuelles. En 2009, 38% des décès accidentels de bébés sont liés à la violence parentale. Les enfants qui ont subi n’importe quels types de violence par leurs parents en reste marqué tout au long de leur vie. Ce sont des images qui seront marqué à vie et que pour certains seront traumatisés. Comme nous a démontré un témoignage, la dame qui avait été agressé lors de sa jeunesse nous a affirmé qu’elle était dans une auto avec son agresseur et que ce dernier lui avait demandé si elle avait déjà vue un pénis. Cette dernière a donc dû y toucher, et pour cette cause son agresseur lui a demandé de n’en parler à personne. Elle culpabilisait parce que tout ce qu’il lui disait, il mettait cela sur sa faute, donc il l’a rendait coupable. Pour un autre, quand il était jeune, ses frères et sœurs ainsi que lui-même se faisait maltraité par leur père. Aussitôt que celui-ci était près de ceux-ci, ils étaient tous en peur constante. En 2004, les éducatrices emmenaient les jeunes qui avaient un comportement indésirables dans des salles d’isolement pour un très long moment. Un jeune adulte de 18 ans qui a toujours eu une enfance dans la misère pendant leur jeunesse réagit comme un jeune de 12 – 13 ans. À la sortie des centres jeunesses, 2266 jeunes de 18 ans se retrouvent dans la rue puisque pendant leur séjour dans le centre, ils apprennent rien qui pourrait les aider à leur sortie. De plus, les personnes installées en prison ont plus de services que ceux qui ont été victimes de quelconques agressions. Comme la dit plusieurs psychologues, on n’a jamais tout vue. Il a toujours quelques choses de pire, on pense