Violence philo
La violence morale va se traduire par des insultes, des reproches, des violences psycologiques, par du harcelement et par des pressions morales.
La quête de notoriété et la recherche de performance poussent souvent les sportifs à se soumettre aveuglément à leurs encadreurs. Il arrive que des entraineurs profitent de la faiblesse de certains sportifs pour commettre des actes de violences. Il s’agit ici de violences psychologiques, de harcèlement, de pressions morales.
Au nom d’un idéal, certains sportifs sont prêts à tout accepter, y compris l’excès. « La maltraitance sportive » se traduit d’un côté par une obligation de rendement pour les sportifs, en passant par la soumission à des entrainements intensifs, une obligation d’avoir un certain poids avec un régime alimentaire strict etc. D’un autre côté, ce sont des propos dénigrants, rabaissants ou même une exclusion quand les résultats ne sont pas là.
Ces pratiques ne sont pas sans conséquence sur la vie des sportifs. On observe alors des comportements à risque, des troubles du sommeil, des blessures dues à la pratique intensive du sport, des troubles de la croissance chez les adolescents très tôt soumis à un surentrainement, le recours au dopage pour améliorer ses performances et une éventuelle consommation de drogues.
On peut citer le cas d’Elodie Lussac, cette jeune gymnaste obligée de participer aux championnats du monde de Dortmund en 1994, alors qu’elle était blessée. Cela signera la fin de sa carrière
Ou encore celui de L’ancien n°1 mondial, le tennisman André Agassi révèle dans son ouvrage « open » paru en novembre 2009, qu’il s’est drogué durant sa carrière.
D'autres violence sont infligés aux sportive et sont plus grave car physique,