Version Ruth Rendell, A Sight for Sore Eyes
Regarder le paratexte.
Première lecture sans dico et sans stylo pour percevoir tonalité du texte, pour dire qui quoi, où etc, pour être capable de résumer le txt.
2eme lecture plus analytique pour relever champs lexicaux, réseaux sémantiques, cohérence, registres, effets de style. À ce moment là on commence à ébaucher au brouillon une première traduction, puis on reprend la traduction en reprenant les mots ds le dico. Amélioration avec les procédés de traduction pour éviter les calques.
Reprendre mot à mot pour ne pas oublier des mots : RELIRE.
Accord des adjectifs de couleur :
Robes cerise. Qd ça désigne un objet.
Exception : rose, mauve, fauve, écarlate, pourpre qui s’accordent. Robes roses etc
Version 1 : Ruth Rendell, A Sight for Sore Eyes, 2000
Ils étaient censés se tenir la main et se regarder. Intensément, les yeux dans les yeux.
« — Quand on pose, on est assis, pas debout ! dit-elle, Pourquoi est-ce que je ne peux pas m’asseoir sur ses genoux.
Il se mit à rire. Tout ce qu’elle disait l’amusait ou le ravissait/ l’enchantait, tout chez elle le fascinait, de ses cheveux auburn et bouclés à ses pieds blancs et menus. Selon les instructions du peintre, ils devaient se regarder, lui comme s’il était amoureux et elle comme si elle était envoutée/charmée. Ça c’était facile, il suffisait d’agir normalement/c’était naturel.
—Ne dis pas de bêtises, Harriet, s’exclama Simon Alpheton. Quelle idée ! Avez-vous déjà vu ce tableau de Rembrandt, La Fiancée Juive ?
Ils ne le connaissaient pas. Simon leur en fit la description alors qu’il commençait sa première ébauche/tout en esquissant un premier croquis.
— C’est un tableau plein de tendresse qui exprime l’amour protecteur de l’homme pour sa jeune épouse, docile. Ils sont manifestement fortunés, ils sont somptueusement vêtus, mais on voit bien que ce sont des êtres/personnes sensibles, prévenantes et qu’ils sont amoureux.
— Tout comme nous. Riches et amoureux. Est-ce que nous