Version : plinivs tacito svo e
5) Celui-ci ayant prit un bain de soleil puis d’eau froide, avait goûté, et allongé, travaillait. Il réclame ses sandales et monte en un lieu d’où l’on pouvait au mieux observé ce phénomène. Le nuage montait (pour ceux qui l’observait de loin, il était incertain de quelle montagne, plus tard, on sut que c’était du Vésuve) et aucun autre arbre que le pin n’en aurait exprimé la ressemblance et la forme.
6) En effet, en s’élevant, sous la forme d’un tronc très long, il s’élargissait dans les airs en rameaux, je crois, parce que, une foi emporté par un vent nouveau, ensuite abandonné par le vent qui s’affaiblissait ou même vaincu par son propre poids, le nuage se dissipait en largeur. Blanc de temps a autres, parfois sombre et sale selon qu’il soulevait de la terre ou du sable.
7) Il lui sembla qu’il lui fallait connaitre mieux et de plus près comme il convient à un homme savant. Il ordonne qu’on prépare un bateau Liburnien. Si je veux venir avec lui, il m’en donne la possibilité. Et je lui répondis que je préférais étudier et que justement, lui-même m’avait donné un sujet à écrire. Il sortait de sa maison, il reçoit un billet de Rectina, la femme de Cascus, effrayé par le danger menaçant (car sa villa se trouvait sous le volcan et il n’y avait pas de fuite possible, si ce n’est par bateau). Elle le priait de l’arracher à une situation si critique.
9) Celui-ci change d’avis et ce qu’il avait commencé avec un esprit savant, le termine avec un esprit de générosité. Il fait sortir des quadrirèmes, embarque lui-même, non seulement pour porter secours a Rectina, mais aussi a de nombreuses personnes (le rivage était très fréquenté du fait de son agrément).
10) Il se hâte vers là où les autres fuit,